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Early but not late allograft nephrectomy reduces allosensitization after transplant failure
Author(s) -
Alp Şener,
Anand Khakhar,
Christopher Nguan,
Andrew A. House,
Anthony M. Jevnikar,
Patrick Luke
Publication year - 2013
Publication title -
canadian urological association journal
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.477
H-Index - 38
eISSN - 1920-1214
pISSN - 1911-6470
DOI - 10.5489/cuaj.759
Subject(s) - medicine , immunosuppression , prednisone , surgery , nephrectomy , urology , gynecology , kidney
Introduction: Allosensitization is a significant obstacle to retransplantationfor patients with primary renal graft failure.Methods: We assessed the impact of allograft nephrectomy(Group I) and weaning of immunosuppression (Group II) on percentpanel reactive antibody (%PRA) at various time points after graftfailure in 132 patients with a median follow-up of 47 months. Ofthese, 68% had allograft nephrectomy while 32% were placed onthe waiting list and were either taken off immunosuppression, lefton prednisone or on low-dose immunosuppressive therapy.Results: When groups were stratified into early ( 6 months) graft failure, patients who had transplant nephrectomyfor early failure demonstrated a decline in %PRA from46% at time of graft failure to 27% at last follow-up (p = 0.02);conversely, %PRA continued to rise in Group II experiencing earlyallograft failure. Both Groups I and II patients with late graft failuremaintained elevated %PRA at last follow-up.Conclusion: Allograft nephrectomy may play a role in limitingallosensitization in patients with early but not late graft failures.RésuméIntroduction : L’allosensibilisation est un obstacle important à laretransplantation chez les patients présentant un échec primairede la greffe rénale.Méthodologie : Nous avons évalué l’impact d’une néphrectomiedu greffon (groupe I) et du sevrage de l’immunosuppression (groupeII) sur le taux d’immunisation (PRA pour panel reactive antibody) àdifférents points dans le temps après l’échec de la greffe chez 132patients; le suivi médian était de 47 mois. Sur les 132 patients, 68% ont subi une néphrectomie du greffon, tandis que 32 % ont étéplacés sur la liste d’attente, et on a soit mis fin à leur traitementd’immunosuppression, soit poursuivi leur traitement par prednisoneou par un agent immunosuppresseur à faible dose.Résultats : Lorsque les groupes ont été stratifiés en fonction del’échec précoce ( 6 mois) de la greffe, lespatients qui ont subi une néphrectomie du greffon en raison d’unéchec précoce ont montré une baisse du PRA, passant de 46 %au moment de l’échec de la greffe à 27 % lors du dernier suivi(p = 0,02); en revanche, le PRA a continué d’augmenter chez lespatients du groupe II qui ont présenté un échec précoce de la greffe.Dans les deux groupes, les patients ayant présenté un échec tardifde la greffe présentaient toujours un PRA élevé lors du dernier suivi.Conclusion : La néphrectomie du greffon peut contribuer à limiterl’allosensibilisation dans les cas d’échec précoce de la greffe, maispas dans les cas d’échec tardif.

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