
Demographic analysis: an update of randomized controlled studies in prostatic oncology
Author(s) -
Elias Wehbi,
Karen Hersey,
Tony Finelli,
Neil Fleshner
Publication year - 2013
Publication title -
canadian urological association journal
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.477
H-Index - 38
eISSN - 1920-1214
pISSN - 1911-6470
DOI - 10.5489/cuaj.658
Subject(s) - medicine , randomized controlled trial , prostate cancer , cohort , clinical trial , medline , meta analysis , cohort study , cancer , political science , law
Results from randomized trials are least prone tosystematic bias and represent the highest level of evidence in medicalpractice. We carried out a demographic analysis examiningrandomized controlled trials (RCTs) in prostate cancer. Particularemphasis was placed on newly conducted phase II/III RCTsbetween January 1997 and March 2006.Methods: We searched the MEDLINE database using the heading“prostate neoplasms” between January 1997 and March 2006. Theresults were then crossed with the MeSHs “Clinical trial.mp. ORclinical trial.pt. OR random:.mp. OR tu.xs;” this cross-checkingis considered an optimal search strategy for detecting RCTs inMEDLINE® literature. The search yielded 7831 articles in totalfor the defined period. Of this total number, 7314 articles weremanually analyzed and excluded as they did not represent RCTs.The qualifying 517 articles were then analyzed with emphasis onmodality of therapy, cohort size, principal author, participatingcountry and journal type.Results: Among the 517 randomized trials, most trials investigatedmedical therapies (42.7%). This was followed by diagnostic studies(13.2%), while the remaining categories made up 44.1%. A trendtowards more completed RCTs is noted in the later years of thecohort. Cohort sizes were generally greater than 100 participants(63.1%). Urologists were the lead investigators in 48.2% of thetrials. Trials were largely conducted in Europe and the United States(43.1% and 38.3%, respectively). About 7% of studies were basedin Canada. Articles were generally published in surgical journals(48.4%), followed by medical journals (36.9%).Conclusions: Given that initial searches yielded nearly 8000 articleslisted as RCTs in prostatic oncology, only a small percentage(5.4% to 8.6%) of these were actually RCTs which reported novelresults. Most of the published data were either review articles orcommentaries. It is abundantly clear that new recruitment strategiesneed to be developed to encourage patients to enrol in RCTs andthat such studies need to be undertaken in urologic oncology toprovide definitive answers to the abundant and unanswered questionsin urologic oncology.Introduction : Les résultats d’essais randomisés sont les moinssujets à une partialité d’emblée et représentent le plus haut niveaude données probantes en médecine. Nous avons mené une analysedémographique des essais contrôlés et randomisés (ECR) sur lecancer de la prostate, en portant attention plus particulièrementaux plus récents essais de phase II/III, menés entre janvier 1997et mars 2006.Méthodologie : Nous avons interrogé la base de données MEDLINEavec le titre « prostate neoplasms » pour la période entre janvier1997 et mars 2006. Les résultats ont ensuite été recoupés avec unerecherche dans la base de données MeSH avec les clés « Clinicaltrial.mp. OU clinical trial.pt. OU random:.mp. OU tu.xs »; cerecoupement est vu comme une stratégie optimale de recherchepour cerner les ECR dans les articles classés dans MEDLINE. Larecherche a produit un total de 7 831 articles pour la périodedéfinie. De ce nombre, 7 314 articles ont été analysés manuellementet exclus puisqu’ils ne traitaient pas d’ECR. Les 517 articlesadmissibles ont ensuite été analysés, avec une attention particulièreaux modalités de traitement, à la taille de la cohorte, à l’auteurprincipal, au pays participant et au type de périodique.Résultats : Sur les 517 essais randomisés, la plupart examinaient destraitements médicamenteux (42,7 %). Venaient ensuite les étudesdiagnostiques (13,2 %), alors que le reste (44,1 %) entrait dansles autres catégories. On a noté une tendance vers une complétudeplus élevée des ECR dans les dernières années de la période.Les cohortes comptaient habituellement plus de 100 participants(63,1 %). Les chercheurs principaux étaient des urologues dans48,2 % des essais. La grande majorité des essais ont été menésen Europe et aux États-Unis (43,1 % et 38,3 %, respectivement).Environ 7 % des études étaient menées au Canada. Règle générale,les articles étaient publiés dans des revues en chirurgie (48,4 %),suivies des revues médicales (36,9 %).Conclusions : Comme les recherches initiales ont généré près de8 000 articles classés comme des ECR en oncologie prostatique,seul un petit pourcentage (5,4 % à 8,6 %) de ces articles était enfait des ECR signalant des résultats inédits. La majorité des donnéesétaient publiées sous forme d’articles de synthèse ou de commentaires.Il est très clair que de nouvelles stratégies de recrutement doivent être établies pour encourager les patients à s’inscrire aux ECR et que de tels essais doivent être entrepris en oncologie urologique afin de fournir des réponses claires aux nombreusesquestions qui restent à élucider dans le domaine.