
Las redes de teleflujos y su estructuración territorial en España: Los flujos telefónicos.
Author(s) -
Joana María Petrus Bey,
Climent Picornell Bauzà,
Joana María Seguí Pons
Publication year - 1990
Publication title -
estudios geográficos
Language(s) - Spanish
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.201
H-Index - 11
eISSN - 1988-8546
pISSN - 0014-1496
DOI - 10.3989/egeogr.1990.i198.83
Subject(s) - humanities , political science , philosophy
El objetivo fundamental del trabajo es analizar la configuración del territorio español en grandes áreas a partir de la interacción espacial de los flujos telefónicos. Las redes que se articulan a partir de los flujos de telecomunicación y telemática cuentan con unas características muy diferenciadas de las del conjunto de redes de transporte. De su estudio se desprenden dos características muy significativas: la jerarquía de control, ya que los flujos son marcadamente asimétricos, y ponen de relieve una vea más las desigualdades existentes entre las distintas provincias y, lo que es más importante, entre éstas y las grandes áreas metropolitanas; y la independencia espacial, puesto que la distancia juega un papel menor en la configuración espacial de los mismos, especialmente en el nivel más alto de la jerarquía metropolitana. Los flujos principales se dirigen siempre hacia aquellas provincias donde el nivel de actividad terciaria y la concentración poblacional es, independientemente de la distancia, mayor. Madrid domina la estructura nacional de los flujos telefónicos, seguida, a mayor distancia, de Barcelona.
[fr] L'objectif principal du travail consiste à analyser la configuration du territoire espagnol dans des grandes aires à partir de l'interaction spatiale des fluxes téléphoniques. Les réseaux que s'articulent à partir des fluxes de télécommunication et de télématique comptent avec des caractéristiques très différénciées des de l’ensemble de réseaux de transport. Deux caracteristiques trés significatives on se détachent de leur étude: la hiérarchie de domination, puis que les fluxes sont vraiement asymétriques et ils ressortent, une autre fois, les inégalités éxistentes entre les différentes provinces et, le plus important, entre elles et les grandes aires métropolitaines; et l'indépendance spatiale, puis que la distance joue un role moins important a la confifsUration spatiale des memes, sur tout au niveau le plus haut de la hiérarchie metropolitaine. Les fluxes les plus importants toujours s'adressent jusqu’à les provinces oú le niveau d'activité tertiaire et la concentration de population sont, indépendamment de la distance, le plus hautes. Madrid domine la structure nationale des fluxes téléphoniques, et après, un peu plus loin, on y trouve Barcelona.