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Nouvelles représentations du corps et déconstruction de l’imaginaire colonial européen à travers trois films de Sarah Maldoror
Author(s) -
Marina Berthet,
Sthepan Oriach
Publication year - 2017
Publication title -
teoria e cultura
Language(s) - French
Resource type - Journals
eISSN - 2318-101X
pISSN - 1809-5968
DOI - 10.34019/2318-101x.2017.v12.12374
Subject(s) - humanities , art , philosophy
Nous nous proposons de repenser certains aspects de l’oeuvre de Sarah Maldoror et sa trajectoire dans le monde du cinéma. Notre perspective se construit à partir de l’analyse de ses trois premiers films: Monagambé (1969), Das fusils pour Banta (1970) et Sambizanga (1972) pour comprendre son rôle de pionnière dans le cinéma d’Afrique des années 60-70. Choisir le documentaire pour exprimer ses opinions est un des éléments caractéristiques du pioneirisme de Sarah Maldoror que nous mettons en evidence dans cet article. Mots-clés: Sarah Maldoror, pionnière, cinéma d’Afrique, documentaire.

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