An evaluation study of voice therapy in non‐organic dysphonia

Thirty patients diagnosed as suffering from non‐organic dysphonia were assigned to one of three treatment groups: direct therapy, indirect and no treatment for a period of 8 weeks. Therapeutic outcome was evaluated by independent judges, patient self‐evaluation, electrolaryngograph ratings and measures of fundamental frequency. The direct treatment group showed the most significant improvement in the return to normal voice functioning followed by the indirect treatment group. One patient in the control group showed improvement without any intervention. This study provides evidence in support of the effectiveness of both direct and indirect therapy in the treatment of non‐organic dysphonia and raises questions concerning individual patient responses to these approaches. Trente patients diagnostiqués comme souffrant de dysphonie non‐organique ont été répartis en trots groupes de traitement pendant une période de huit semaines: thérapie directe, thérapie indirecte et absence de soins. L'effet du traitement a éte évalué par des juges séparés, par l'auto‐évaluation des patients, par des examens par électrolaryngographe et par des mesures de fréquence fondamentale. C'est au sein du groupe soumis à la thérapie directe que se sont révélés les progrès les plus significatifs vers un retour au fonctionnement normal de la voix, suivi par le groupe de thérapie indirecte. Il n'y a eu qu'un patient du groupe de contrôle (absence de soins) chez qui s'est révélée une amélioration. Les résultats de cette étude renforcent l'hypothèse de l'efficacité des thérapies directe et indirecte dans le traitement de la dysphonie non‐organique, et remettent en question les attitudes individuelles des patients face à ces styles de traitement. Dreissig Patienten mit einer nicht‐organischen Dysphonie sind während 8 Wochen in drei Behandlungsgruppen aufgeteilt worden: direkte Therapie, indirekte Therapie, keine Therapie. Die therapeutischen Ergebnisse sind von unparteiischen Hörern bewertet worden, durch Selbstbewertung und durch elektrolaryngographische Analysen und Messungen der Grundfrequenz. Die signifikanteste Verbesserung in Richtung der normalen Stimme zeigte die Gruppe mit direkter Therapie, gefolgt von der Gruppe mit indirekter Therapie. Ein Patient in der Gruppe ohne Therapie hatte eine Verbesserung gezeigt. Diese Studie beweist die Wirksamkeit sowohl der direkten als auch der indirekten Therapie in der Behandlung der nicht‐organischen Dysphonie, und erhebt Fragen bezüglich Reaktionen einzelner Patienten auf diese therapeutischen Einsätze.