L’expérience de la flânerie dans Les mains negatives (1979), de Marguerite Duras

Cet article vise à explorer, à partir du court-métrage Les mains négatives (1979), de Marguerite Duras, l’idée de la flânerie comme un bouleversement perceptif que l’on peut rattacher à la déambulation urbaine. Une telle expérience qui évoque la flânerie benjaminienne est intimement liée à l'espace de l'écriture poétique durassienne, dans un parcours qui oscille entre texte et image et échappe ainsi au logocentrisme. Ce parcours privilégie la perspective intermédiale.