Commodare habitationem

Danis le com m entaire à l’édjit (D. 13, 6, 1, 1) U lpian dém ontre le d é ­veloppem ent historique du .sujet du co n tra t de oammodatt. Au comm encem ent les objets mobiles, individuellem ent m arqués e t quii n ’é ta ­ient pas sujet de consom m ation .pendant qu’ils étaient en usage (D.1BS 6, 3, 6), étaient su je t d e eommodait. Les objet® d’échanige étiaiemtsujet de com m odat uniquem ent lorsqu’ ils rem plissaient la fonctiondes 'objets individuellem ent m arqués (D,. 112, 1, 18, 1; D. 1!3, 6, 4). Ceseulem ent avec le tem ps, isouis l’inÆluienice d e Casskus, qu’on étenditla protection à l’aide deactio commodati égalem ent sur les im ­m obilités (D. 13, 6, 1, 1; D. 13, 6„ 5, 16). E nsuite les juristes., et to u tparticulièrem ent Vivianue, adm irent 'lia possibilité de p rê te r à usageh a b i t a t i o (D. 13, 6, 1, 1; D. 1|9, 5, H7 pr). C ependant l ’autorisationdïhaibiter dams u n bâtim ent d ’autirui n ’était pas considéré pair to u t lesjuristes ooimme com modat. Scaevoila 'Se prononça probablem ent danisce cais pour reconnaître la p récarité , Gaiuis en f-aiveurde la donation de habitat! o i(:Gali. 4, l'53). Pompoiniius exclut n e tte ­m ent la précarité de h a b i t a t i o , m ais, excepté la donation, adm et,comme on peut le croire d’après l’analise (D. 43. 26, 115, 1) le p rêtà usage de h a b i t atio. On a toutstaiis. l'im pression que le prêt à u sage d e h a b i t at io, 'accepté p a r u n e p artie de juristes rom ains, n ’étailtpas tra ité en ta n t que ooimmoidat d e servitude, c'est-à-dire luira inr e a l i é n a , mais comme autorisation de profiter d’im m obilier q u o a du s u m, com me oin le p ratiq u e e n donnant l'au to risatio n d’u tiliserl’aqueduc (D. 8, 3, 24)