z-logo
open-access-imgOpen Access
Identification par le « je » et territorialité fragile du cinéma en Algérie
Author(s) -
Habiba Djahnine
Publication year - 2013
Publication title -
nouvelle revue synergies canada
Language(s) - French
Resource type - Journals
ISSN - 2292-2261
DOI - 10.21083/nrsc.v0i6.2873
Subject(s) - humanities , art , portrait , art history
Cette réflexion s’élabore en suivant le fil tendu entre images filmiques et paroles de ceux qui les ont réalisées. Parcourant Hystérésis (Algérie/Autoédition, 2009, 15’) de Tahar Kessi, Bir d’eau – walk movie – portrait d’une rue (Algérie/Autoédition, 2010, 60’) de Djamil Belloucif, J’ai habité l’absence deux fois (Algérie/Béjaia DOC, 2011, 28’) de Drifa Mezener et El Berrani (Algérie/Béjaia DOC, 2010, 32) d’Aboubakar Hamzi, elle met les uns à côté des autres des mots qui parviennent à faire entrevoir une des géographies possibles du territoire d’un cinéma d’Algérie qui assume totalement son intériorité malgré toutes les assignations.This reflection develops by following the connection between the images that appear in films and the words of those who directed them. Reviewing Tahar Kessi’s Hystérésis (Algeria/Autoédition, 2009), Djamil Belloucif’s Bir d’eau - walk movie - portrait d’une rue (Algeria/Autoédition, 2010), Drifa Mezener’s J’ai habité l’absence deux fois (Algeria/Béjaia DOC, 2011) and Aboubakar Hamzi’s El Berrani, it compares the words that allow us to catch a glimpse of one of the possible landscapes of Algerian cinema, one that completely accepts its inwardness.

The content you want is available to Zendy users.

Already have an account? Click here to sign in.
Having issues? You can contact us here