
L’entrainement, c’est ma vie!
Author(s) -
Eve Laplante
Publication year - 2015
Publication title -
university of ottawa journal of medicine
Language(s) - English
Resource type - Journals
eISSN - 2292-6518
pISSN - 2292-650X
DOI - 10.18192/uojm.v5i2.1285
Subject(s) - humanities , philosophy , psychology , popularity , psychoanalysis , social psychology
RÉSUMÉ:Nul ne peut ignorer que les centres d’entrainement physique sont plus que jamais fréquentés. Particulièrement populaire, l’entrainement prend désormais une grande place dans la vie de plusieurs. Habitude saine, certes, mais jusqu’à une certaine limite. Cette limite se trace par ailleurs au moment où l’un des résultats de l’entrainement musculaire, soit une apparence corporelle musclée, deviennent l’unique préoccupation. La dysmorphie musculaire, ou communément appelée la « bigorexie », est le nom que l’on donne à ce trouble psychologique. Il décrit l’obsession compulsive de l’entrainement et des muscles. Cette maladie étant complexe, de raisons variées et d’importantes conséquences et complications s’y rattachent.ABSTRACT:No one can ignore that physical training centers are more popular than ever. With its increased popularity, training now takes an important place in the lives of many. Although certainly a healthy habit, there are limits. These limits become evident when one of the results of strength training, a muscular body appearance, becomes one’s only concern. Muscle dysmorphia, or commonly called “bigorexia,” is the name we give to this psychological disorder. Bigorexia is a compulsive obsession with training and a muscular build. This disease is complex, for varied reasons and related to important consequences and complications.