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Immunopathogenesis of the feline atopic syndrome
Author(s) -
Halliwell Richard,
Banovic Frane,
Mueller Ralf S.,
Olivry Thierry
Publication year - 2021
Publication title -
veterinary dermatology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.744
H-Index - 60
eISSN - 1365-3164
pISSN - 0959-4493
DOI - 10.1111/vde.12928
Subject(s) - humanities , medicine , philosophy , gynecology
Résumé Contexte Les maladies félines supposées d’origine allergique avec des phénotypes cliniques semblables, peuvent avoir de nombreuses pathogénies différentes sous jacentes. Le phénotype clinque, l’étiologie précise et l’immunopathogénie sous jacente doivent tous être considérés si des avancées veulent être faites dans ces domaines négligés de la dermatologie. Objectifs Décrire le statut de recherche de l’immunopathogénie des maladies qui tombent dans le spectre du syndrome cutané atopique félin (FASS), résumer les conclusions, identifier les limites et recommander de futures directions de recherche. Méthodes Une étude bibliographique a été réalisée. Les forces et la validité des données et des contributions à nos connaissances actuelles sur l’immunopathogénie ont été analysées. Les dermatoses présumées d’origine allergique et l’asthme, ont été évalués séparément, ainsi que le rôle des anticorps, cellules et cytokines. Résultats La qualité des recherches était variée et ses impacts étaient souvent limités par un défaut d’utilisation de critères stricts de sélection des cas. Ceci reflète les difficultés des patrons de réaction cutanée associée à un grand nombre d’étiologies. La recherche sur l’asthme félin a été freinée par les difficultés d’explorer le matériel clinque et la plupart des informations utiles était dérivées de modèles expérimentaux. Conclusions et importance Clinique La revue des preuves supporte le rôle de l’immunoglobuline (Ig)E dans la pathogénie de l’asthme et du FASS quoique pas fortement. L’inflammation notée dans le FASS et l’asthme est accompagnée d’éosinophiles et de lymphocytes, et ces données, ensemble avec l’expression de cytokines, suggèrent d’une dérégulation immunitaire des T‐helper type 2 de certains chats (mais pas tous).