Premium
GROUP FACTORS IN SCHOOL SUBJECTS
Author(s) -
THOMSON GODFREY H.
Publication year - 1935
Publication title -
british journal of educational psychology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 1.557
H-Index - 95
eISSN - 2044-8279
pISSN - 0007-0998
DOI - 10.1111/j.2044-8279.1935.tb03255.x
Subject(s) - humanities , philosophy , art
R ésumé LES FACTEURS GROUPÉS DANS LES BRANCHES SCOLAIRES. Cette note résulte d'une dispute entre M. Wilson et M. Emraett, auteurs d'articles publiés dans ce journal en 1933 et en 1935. Wilson avait découvert que les corrélations entre certains groupes de branches scolaires donnaient des différences “tetrad” zéro, et il en a conclu que chacun de ces groupes s'expliquait par an facteur général et plusieurs facteurs spécifiques. Emmett, de l'autre cǒté, maintenait que de tels accomplissements scolaires étaient déterminés par un nombre d'influences indépendantes. Thomson fait remarquer ici que l'on pent arranger d'innombrables dessins de facteurs pour chaque groupe de corrélations, et que pas un seul de ces dessins n'est une preuve de l'existence réelle de ces “facteurs” qui ne sont que des variables mathématiques. Il existe, il est vrai, certaines bornes à. la liberté avec laquelle on peut arranger ces dessins de facteurs, mais ces bornes laissent néanmoins des possibilités étendues de variation. On se rapporte aux articles originaux de cet auteur et d'autres dans lesquels ces questions sont traitées d'une façon plus technique. Z usammenfassung GRUPPENFAKTOREN BEI SCHULFÄCHERN. Diese Bemerkungen entstehen aus einer Meinungsverschiedenheit zwischen Herrn Wilson und Herrn Emmett, den Verfassern von Abhandlungen in dieser Zeitschrift im Jahre 1933 und 1935. Wilson hatte gefunden, dass die Korrelationen zwischen gewissen Gruppen von Schulfächem Tetraddifferenzen mit Nullwert ergaben, und war daher der Meinung, dass jede von diesen Gruppen durch einen Generalfaktor und spezifische Faktoren erklärbar sei. Emmett andererseits nahm an, dass solche Schulleistungen durch viele unabhängige Einllüsse bestimmt würden. Thomson weist hier darauf hin, dass unzählige Faktorenschemata für jede Korrelationsgruppe gemacht werden können und dass keins von diesen Faktorenschemata ein Beweis für die tatsächliche Existenz der “Faktoren” ist, die lediglich mathematische Variabeln sind. Gewisse Grenzen bestehen tatsächlich in der Freiheit, mit welcher Faktorenschemata gemacht werden können, aber diese Grenzen lassen trotzdem grosse Möglichkeiten der Variation zu. Man weist auf die Originalabhandlungen des Verfassers und anderer hin, in welchen diese Fragen eingehender besprochen werden.