THE VOCABULARY BURDEN IN THE FIRST YEAR OF FRENCH

R ésumé . LE FARDEAU DU VOCABULAIRE PENDANT LA PREMIÈRE ANNÉE DE FRANCAIS. A la fin de la première année de français on fit passer un test à 356 élèves dans seize classes différentes sur TOUT le vocabulaire qu'ils avaient rencontré pendant l'année. Le nombre des mots variait de 1,112 à 212, et l'accomplissement des élèves de 789 à 179 mots correctement reconnus. Ceci mena à la considération du rapport entre le temps consacré, l'intelligence générale, le succès subséquent et les résultats des tests du vocabulaire. On en tira les conclusions suivantes. Des enfants de douze ans peuvent obtenir d'assez bons résultats sur des vocabulaires de 460–800 mots. La répétition d'un vocabulaire restraint ne mène pas à de meilleurs résultats qu'un vocabulaire plus étendu. Il y a une corrélation importante entre les résultats des tests et l'intelligence générale. La note obtenue plus tard dans cette branche montre une corrélation élevée avec les tests du vocabulaire chez les enfants moins doués. Les variations chez les enfants intelligents sug‐gerènt le besoin d'autres tests pour révéler d'autres facteurs dans l'aptitude pour les langues. Il existe des différences quant au temps consacré à cette étude, et à la quantité de la matière présentée, qui ne devraient pas exister. Z usammenfassung . DIE LAST DES WORTSCHATZES IM ERSTEN JAHR DES STUDIUMS VOM FRANZÖSISCHEN. Am Ende des ersten Jahres des Französischen wurden 356 Kinder in 16 verschiedenen Klassen auf den Gesamtwortschatz, dem sie im Laufe des Jahres begegnet waren, geprüft. Die Anzahl der Wörter erstreckte sich von 1,112 auf 212, und die Lesitung der Kinder von 789 auf 179 Wörter, die genau erkannt wurden. Dies hatte als Folge eine Untersuchung des Verhältnisses zwischen der verfügbaren Zeit und allgemeiner Intelligenz, und den Resultaten der Wort‐schatztests. Man schloss Folgendes daraus: Kinder vom 12 Lj. schneiden mit einem Wortschatz von 460 bis 800 Wörtern ziemlich gut ab. Die Wiederholung eines geringen Wortschatzes ergibt keine besseren Resultate als ein grosser Wortschatz. Es besteht eine starke Korrelation zwischen den Ergebnissen und allgemeiner Intelligenz. Die spätere Leistung im Gegenstand korreliert stark mit den Wortschatztests im Falle wenig begabter Kinder. Die Unbeständigkeit bei den begabten Kindern weist auf die Notwendigkeit hin, Tests aufzustellen, die andere Faktoren entdecken werden. Es bestehen Unterschiede zwischen der erlaubten Zeit und dem beigebrachtem Stoff, die es nicht geben sollte.