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AN ENQUIRY AS TO REASONS FOR THE CHOICE OF THE TEACHING PROFESSION BY UNIVERSITY STUDENTS
Author(s) -
VALENTINE C. W.
Publication year - 1934
Publication title -
british journal of educational psychology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 1.557
H-Index - 95
eISSN - 2044-8279
pISSN - 0007-0998
DOI - 10.1111/j.2044-8279.1934.tb02955.x
Subject(s) - humanities , persuasion , psychology , sociology , philosophy , social psychology
R ésumé . UNE ENQUÉTE SUR LES RAISONS DU CHOIX DE L'ENSEIGNEMENT COMME CARRIÈRE, AVANCÉES PAR DES ÉTUDIANTS D'UNIVERSITÉ. On fit une enquête parmi plus de 400 diplómés, venant de quatre universités différentes (a) quant à leurs raisons originales pour le choix de l'enseignement et (b) quant aux motifs qui les animaient au moment méme d'entrer dans la carrière. On découvrit que la supposition, avancée quelquefois, que la persuasion exercée par le directeur de l'Ecole Secondaire soit une influence importante, est fausse. Une proportion élevée des étudiants (les hommes surtout) choisirent d'abord l'enseignement, principalement parce qu'ils pouvaient ainsi se procurer, au moyen de la subvention spéciale du Ministère de l'Education, une éducation universitaire. Les attraits économiques de cette carrière (y compris la sécurité) faisaient, au commencement, un appel plus grand aux hommes qu'aux femmes, qui étaient influencées surtout par un désir de continuer leurs études dans les branches préférées, par l'amour des enfants et de l'enseignement en général. Quant aux motifs qui animaient les étudiants peu de temps avant de commencer leur tâche de professeurs le fait déplorable se présente, que plus de quarante étudiants avancèrent comme raison principale pour entrer, dans l'enseignement le manque de toute alternative possible. Chez la plupart des étudiants, cependant, les motifs actuels étaient d'un type satisfaisant, montrant que l'amour de l'enseignement et l'intérêt dans l'éducation s'étaient développés pendant l'année de préparation professionnelle. Dans des rapports sur les désavantages de l'enseignement les hommes appuient sur le niveau bas des traitements, et la perspective insignifiante de la promotion. Les objections principales chez les femmes sont d'une nature plus intime. La plus importante est la crainte de prendre un pli, ensuite la domination exercée sur l'enseignement par les examens, et enfin l'effort mental excessif exigé par l'enseignement. Z usammenfassung . EINE NACHFRAGE NACH DEN GRÜNDEN FÜR DIE WAHL DES LEHRBERUFES VON UNIVERSITÄTEN. Man hielt eine Nachfrage unter über 400 Graduierten an vier Universitäten betreff (a) ihrer ursprünglichen Gründe für die Wahl der Lehrerlaufbahn, und (b) der Veranlassungen, die sie jetzt am meisten beeinflussen, wenn sie eben in den Lehrerstand treten wollen. Die von den Studenten gegebenen Antworten waren anonym. Es wurde entdeckt, dass die häufige Annahme, der Rat des Direktors der höheren Schule (engl.) spiele eine grosse Rolle in der Wahl des Lehrberufs, nicht stichhaltig ist. Eine grosse Anzahl der Studierenden (besonders der männlichen) hätten den Lehrberuf ursprünglich grösstenteils gewählt, weil sie auf diese Weise zum Universitätsstudium mittels des vom engl. Unterrichtsministerium bewilligten Geldes haben gelangen können. Die wirtschaftlicben Vorzüge des Berufs (unter ihnen eine sichere Existenz) übte ursprünglich einen grösseren Einfluss auf männliche als auf weibliche Studierende aus, die sich hauptsächlich durch den Wunsch beeinflusst fühlten, sich in ihren Lieblingsfächern weiterzubilden, und überhaupt durch Liebe zu Kindern und zum Lehren. Was die Veranlassungen der angehenden Lehrer anbelangt, kam die beklageoswerte Tatsache heraus, dass über vierzig Studenten behaupteten, sie wollten eine Lehrerlaufbahn betreten, hauptsächlich aus Mangel an möglichen Alternativen. Für die Mehrheit aber waren die Beweggründe befriedigender Art, was zeigt, dass Liebe zum Lehren und Interesse für Erziehung sich vor dem Ende des Probejahres entwickelt hatte. Wenn die männlichen Studierenden sich über die Nachteile des Lehrberufs äussern, betonen sie die niedrigen Gehälter, die Dauer und die Unkosten der Beruflichen Ausbildung und die wenigen Aussichten auf Beförderung. Die Einwendungen der Studentinnen sind intimerer Art, vor allem Angst vor dem alten Geleise, dann die tyrannisierende Rolle der Prüfungen im Unterricht und die grossen Anstrengungen des Lehrens.

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