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DISCREPANCIES BETWEEN THE RESULTS OF INTELLIGENCE TESTS AND ENTRANCE EXAMINATIONS TO SECONDARY SCHOOLS. *
Author(s) -
HUGHES A. G.
Publication year - 1934
Publication title -
british journal of educational psychology
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 1.557
H-Index - 95
eISSN - 2044-8279
pISSN - 0007-0998
DOI - 10.1111/j.2044-8279.1934.tb02954.x
Subject(s) - humanities , psychology , art
R ésumé . DES ÉCARTS ENTRE DEUX RÉSULTATS D'UN TEST ET D'UN CONCOURS D'ADMISSIBILITÉ AUX ÉCOLES SECONDAIRES. Les recherches se basent sur la comparaison des résultats d'un concours de bourse en anglais et en arithmétique avec ceux d'un test d'intelligence par groupes. Les sujets étaient 2,000 enfants de Londres entre les âges de dix ans six mois et onze ans. La corrélation entre les résultats des deux types d'épreuve étaient d'environ .6. Il y avait, cependant, des écarts frappants. Quelques enfants réussissaient très bien au concours et échouaient au test, et vice versa. Une enquête sur 120 de ces cas révéla le fait que quelques enfants intelligents ne gagnent pas de bourse parce qu'ils souffrent des désavantages extérieurs, tels des conditions défavorables à la maison, des défauts de caractère, une santé affaiblie, une maladie vers l'époque du concours. D'autre part quelques enfants de capacité médicocre gagnent une bourse parce qu'ils jouissent d'avantages spéciaux correspondants. La conclusion qu'il faut en tirer c'est qu'il vaudrait mieux ajouter au concours ordinaire en anglais et en arithmétique un test d'intelligence. Z usammenfassung . WIDERSPRÜCHE ZWISCHEN DEN ERGEBNISSEN VON INTELLIGENZ‐PRÜFUNGEN UND AUFNAHMEPRÜFUNGEN AN HÖHEREN SCHULEN. Die Untersuchung basiert auf einem Vergleich der Ergebnisse einer Stiftungs‐prüfung im Englischen und im Rechnen mit den Resultaten eines Gruppenintelligenztests. Die Vp. waren 2000 Londoner Kinder zwischen 10 Jahren 6 Monaten und 11 Jahren. Die Korrelation zwischen den Ergebnissen der beiden Prüfungstypen war ungefähr 6. Trotzdem fielen einige Widersprüche auf, denn einige Kinder schnitten in der Schulprüfung sehr gut und in der Intelligenzprüfung sehr schlecht ab, und umgekehrt. Eine Nachfrage bei 120 von diesen Fällen zeigte, dass einige intelligente Kinder keine Stipendien gewinnen, weil sie an Nachteilen ausserhalb der Schule, z. B. an schlechten Familienzuständen, Charakterschwächen, unbefriedigender Gesundheit, Krankheit, zur Zeit der Prüfung leiden. Umgekehrt gelangen einige Kinder mässiger Intelligenz zu Stipendien, weil sie gewisse entsprechende, besondere Vorteile geniessen. Daraus schliesst man, dass es wünschenswert ware, der gewöhnlichen Stipendiumsprüfung eine Intelligenzprüfung hinzuzufügen.