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AN APPLICATION OF MENTAL TESTS TO UNIVERSITY STUDENTS
Author(s) -
WHITE H. D. JENNINGS
Publication year - 1932
Publication title -
british journal of educational psychology
Language(s) - German
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 1.557
H-Index - 95
eISSN - 2044-8279
pISSN - 0007-0998
DOI - 10.1111/j.2044-8279.1932.tb03143.x
Subject(s) - humanities , art , philosophy
R ésumé . L'APPLICATION DE TESTS À DES ÉTUDIANTS D'UNIVERSITÉ. (II). Les résultats d'un questionnaire démontrent que ces étudiants qui réussissent mal des tests d'intelligence générale à “University College,” Londres, mais qui réussissent bien un examen d'université subséquent, s'intéressent plus à leur travail, et travaillent plus d'heures par jour selon des méthodes plus intelligentes. Ils ne se laissent pas distraire par des préoccupations sociales mais se dirigent vers le but étroit academique. D'autre part ceux qui réussissent bien le test et mal l'examen ont des intérèts et des capacités plus larges, ils n'ont souvent pas la liberté de choisir personnellement leurs cours universitaires. Ils sont moins sains. Ils tendent à passer plus de temps aux distractions qu'offre la vie universitaire. Ils se laissent distraire par d'autres intérêts et très souvent ils ne semblent pas avoir trouvé leur véritable vocation. Ils sont pénalisés par le manque de pratique dans des branches relativement inconnues, ou par un enseignement erronné, ou par quelque incapacité intellectuelle. On recommande que ces derniers subissent un examen spécial de la Section Psychologique de l'université. Pour diminuer le chiffre des étudiants faibles (20 per cent.) on devrait mettre à la disposition de chaque étudiant, qui entre à l'université, les methodes scientifiques de selection et d'orientation professionnelles, on devrait peut‐être même les y soumettre obligatoirement. Ü bersicht . EINE ANWENDUNG DER INTELLIGENZPRUFÜNG AUF STUDENTEN. II. TEIL. Die Ergebnisse eines Fragebogens zeigen, dass diejenigen Studenten, die bei der Allgemeinen Intelligenzprüfung im University College, London, schlecht, bei einem späteren Universitätsexamen jedoch gut abschneiden, mehr Interesse an ihrer Arbeit haben und mehr Stunden pro Tag und mit besseren Methoden studieren als andere. Sie werden nicht durch gesellschaftliche Interessen abgelenkt, sondern konzentrieren sich auf das beschränkte akademische Ziel. Andererseits haben jene, die in der Intelligenzprüfung gut, in einem folgenden Examen aber schlecht abschneiden, umfassendere Interessen und Fähigkeiten und gestalten häufig ihre Universitätsarbeit nicht nach ihren persönlichen Bedürfnissen. Sie sind weniger gesund. Sie neigen dazu, enien grösseren Teil der Universitätszeit Unterhaltungen zu widmen; sie werden durch andere Interessen abgelenkt und haben häufig ihren Beruf nur unzulänglich vorausbestimmt. Sie sind benachteiligt, weil ihnen die Übung in Fächern, die ihnen verhältnismässig neu sind, fehlt oder weil sie in der Schule mangelhaft unterrichtet wurden oder weil sie geistig unfähig sind. Es wird empfohlen, dass diese letzteren speziell untersucht und von der Psychologischen Abteilung beraten werden. Um die Zahl der ungenügenden Studenten (20 Prozent) zu verringern, sollten die wissenschaftlichen Methoden der Berufswahl und der Berufsberatung allen neueintretenden Studenten zur Verfügung stehen und vielleicht sogar für sie obligatorisch sein.