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The Valuation of Loss Carryforwards
Author(s) -
Zeng Tao
Publication year - 2003
Publication title -
canadian journal of administrative sciences / revue canadienne des sciences de l'administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.347
H-Index - 48
eISSN - 1936-4490
pISSN - 0825-0383
DOI - 10.1111/j.1936-4490.2003.tb00701.x
Subject(s) - valuation (finance) , market value , economics , payment , financial economics , accounting , finance
This paper explores the value‐relevant information of one deferred tax component, that is, loss carryforwards. A tax‐adjusted market valuation model, based on the Feltham‐Ohlson (1995) market valuation model, shows that firm market value depends on the expected future tax payments. Under the assumption that loss carryforwards reduce a firm's future tax payments, the cross‐sectional regression results show that loss carryforwards enhance firm market value, suggesting that the market expects losses will be used to reduce a firm's tax payments in future years. In addition, loss carryforwards are classified into several categories based on the restrictions on the losses (i.e., source, jurisdiction, and timing restrictions). I show that it is the loss carryforwards category with fewer restrictions that significantly enhances firm market value. Résumé Cette présentation étudie les renseignements pertinents à la valeur d'un élément d'impôts différés, c.‐à‐d. des reports de pertes à un exercice ultérieur. Un modèle d'évaluation du marché avec réajustement d'impôt, basé sur sur le modèle d'évaluation du marché de Feltham‐Ohlson (1995), démontre que la valeur marchande d'une firme dépend des paiements prévus d'impôts futurs. Selon l'hypothèse que les reports de pertes à un exercice ultérieur réduisent les paiements d'impôts futurs d'une firme, l'analyse de la régression transversale révèle que les reports de pertes à un exercice ultérieur augmentent la valeur marchande de la firme, ce qui suggère que le marché s'attend à ce que les pertes seront utilisées pour réduire les paiements d'impôts de la firme au cours des années à venir. De plus, les reports de pertes à un exercice ultérieur sont classés dans plusieurs catégories en fonction des restrictions sur les pertes (c.‐à‐d. restrictions couvrant les sources, la juridiction et le calendrier d'application). Je démontre qu'il s'agit de la catégorie de reports de pertes à un exercice ultérieur comportant le moins de restrictions, qui augmente considérablement la valeur marchande d'une firme.