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Stock Market's Reaction To Business Relocations: Canadian Evidence
Author(s) -
Bhabra Harjeet S.,
Lel Uǧur,
Tirtiroǧlu Doǧan
Publication year - 2002
Publication title -
canadian journal of administrative sciences / revue canadienne des sciences de l'administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.347
H-Index - 48
eISSN - 1936-4490
pISSN - 0825-0383
DOI - 10.1111/j.1936-4490.2002.tb00280.x
Subject(s) - stock (firearms) , stock market , relocation , economy , business , humanities , business administration , economics , political science , geography , art , archaeology , computer science , context (archaeology) , programming language
This paper provides the first empirical evidence for the Canadian market on the stock price performance of firms announcing business relocation decisions. Using a sample of 87 announcements by listed firms between 1975 and 1997, our results show that, on average, the market reacts positively to the announcements of business relocations. We observe positive abnormal returns for relocations motivated by cost savings and for unspecified reasons, and for those involving corporate headquarters and plants. We also find that relocations of divisions and relocations motivated by capacity reduction and facilities consolidations do not convey any new information to the market. Our results for plant relocations differ from those documented in studies with U. S. samples primarily because the underlying motives for plant relocations in the two countries are different. Résumé L'article qui suit propose la première donnée empirique, pour le marché canadien, sur la performance des prix boursiers des firmes qui annoncent des décisions de relocalisation de leurs activités. À partir d'un échantillon de 87 annonces faites entre 1975 et 1997 par des firmes cotées, nos résultats démontrent que, d'une façon générale, le marché réagit positivement aux annonces de relocalisation des activités. On note des revenus positifs imprévus pour les relocalisations motivées par les épargnes de coût, par des raisons imprécises, et pour les relocalisations impliquant les locaux et les installations de la firme. Nous arrivons également à la conclusion que les relocalisations des divisions et celles motivées par la réduction de la puissance ou la consolidation des installations n'apportent aucune information nouvelle au marché. Nos conclusions, en ce qui concerne la relocalisation des usines sont différentes de celles documentées dans les études menées sur des échantillons américains. Cette différence s'explique par le fait que les raisons sous‐tendant les relocalisations ne sont pas les mêmes dans les deux pays.