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Investigation of Raters' and Ratees' Reactions to Three Methods of Performance Appraisal: BOS, BARS, and GRS
Author(s) -
Tziner Aharon,
Kopelman Richard,
Joanis Christine
Publication year - 1997
Publication title -
canadian journal of administrative sciences / revue canadienne des sciences de l'administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.347
H-Index - 48
eISSN - 1936-4490
pISSN - 0825-0383
DOI - 10.1111/j.1936-4490.1997.tb00145.x
Subject(s) - valuation (finance) , psychology , performance appraisal , political science , credence , humanities , social psychology , philosophy , management , statistics , mathematics , accounting , business , economics
It was hypothesized that in comparison to a GRS‐based performance appraisal and review, behaviour‐based (BARS and BOS) appraisals and reviews would generate superior goal properties (e.g., specificity), better goal characteristics (e.g., acceptance), and more favourable user reactions (e.g., ratee satisfaction with the appraisal process). Data from a field experiment involving 46 police sergeants (raters) and their 152 subordinates (ratees) supported almost all of the predictions. Particularly strong evidentiary support was found for the BOS‐based performance appraisal and review. These results, as well as recent empirical evidence from other studies, lend credence to the proposition that a BOS‐based performance appraisal and review may be superior to other appraisal methods in terms of yielding more favourable attitudinal effects . Résumé Dans la présente étude, nous examinons l'hypothèse selon laquelle, comparativement a l'évaluation du ren‐dement 4aG l'aide de l'échelle GRS, l'évaluation se basant sur les échelles BOS et BARS entraine des réactions plus favorables chez les usagers, des perceptions plus claires quant aux propriétés des objectifs (p. ex. spécificité) et des caractéristiques plus positives des objectifs de performance (p. ex. acceptation) établis au moyen de ces méthodes d'évaluation. Les données recueillies à partir d'une étude expérimentale menée dans une organisation auprès de 46 cadres (évaluateurs) et de leur 152 subal‐ternes (évalués) appuient presque toutes ces conjections. Ces résultats, ainsi que des évidences empiriques récentes, indiquent que les évaluations du rendement à l'aide de l'échelle BOS sont supeérieures à celles observées au moyen des échelles GRS et BARS, en ce qui concerne les effets attitudinaux engendrés (notamment les perceptions quant aux propriétés des objectifs de performance, fixés à l'aide de chacune des trois échelles d'évaluation) .