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The Impact of Time Lags in Competitor Response on Competition
Author(s) -
Bukszar Ed
Publication year - 1997
Publication title -
canadian journal of administrative sciences / revue canadienne des sciences de l'administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.347
H-Index - 48
eISSN - 1936-4490
pISSN - 0825-0383
DOI - 10.1111/j.1936-4490.1997.tb00126.x
Subject(s) - tacit collusion , first mover advantage , competition (biology) , collusion , action (physics) , microeconomics , economics , variable (mathematics) , industrial organization , business , mathematics , biology , ecology , mathematical analysis , physics , quantum mechanics
Strategic management theory suggests that when time lags occur between one firm's action and another firm's reaction, the firm initiating a strategic move may gain a significant advantage over its rival. As a result, competitive activity is stimulated as rival firms apply tactics that have the potential of creating lag effects. Implicit in this conception of lag effects is the belief that first‐mover advantages may enable the initiating firm to establish a competitive advantage by creating long‐lived advantages, in branding or distribution, for example. However, time lags may matter in and of themselves, that is, absent first‐mover advantages, time lags may stimulate competition. Time lags increase the cognitive complexity of the task of tracking and sorting out competitive actions/signals, which inhibits tacit collusion. The results of two experiments using business executives as subjects support the notion that even absent first‐mover advantages, time lags stimulate competition. They also suggest that when a time‐lagged variable (for example, a nonprice variable) is studied in conjunction with a nonlagged variable (price), competition is stimulated on both variables. Résumé Selon la théorie des stratégies de la gestion, le lapse de temps possible entre l'action d'une entreprise et la réaction d'une autre peut dormer à la firme qui lance une manoeuvre stratégique un avantage important sur l'entreprise concurrente. Par conséquent, l'activité compétitive croǐt au fur et à mesure que les entreprises rivales adoptent des stratégies qui favorisent des effets de décalage temporel entre action et réaction. Cette conception des effets de décalage temporel comporte l'idée que les avantages dus au simple fait de prendre l'initiative permettent à l'entreprise de réaliser un avantage concurrentiel par la création d'avantages à long terme, notamment dans les domaines de la distribution ou de l'enregistrement des marques. Par ailleurs, il peut arriv‐er que les décalages aient des conséquences intrin‐séques, c'est‐à‐dire que, měme en l'bsence d'un avantage réel d'initiateur, le décalage augmente la compétition. Les décalages entravent le dépistage et l'interprétation des signaux et actions, ce qui entrave la complic‐ité tacite. Les résultats de deux enquětes, menées auprès d'informateurs cadres, semblent confirmer l'hypothèse que le principe du décalage stimule la compétition, měme en l'absence des avantages d'initiateur. Les résultats de ces expériences suggèrent aussi que la conjonc‐tion d'une variable décalée (par exemple une variable autre que le prix) et une variable non‐décalée (le prix) augmente la concurrence sur les deux variables.

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