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Managing the Adoption of New Technologies: Does Personality Affect the Acceptance of New Audit Technologies?
Author(s) -
Davidson Ronald A.,
Hart Stephen D.
Publication year - 1995
Publication title -
canadian journal of administrative sciences / revue canadienne des sciences de l'administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.347
H-Index - 48
eISSN - 1936-4490
pISSN - 0825-0383
DOI - 10.1111/j.1936-4490.1995.tb00089.x
Subject(s) - audit , openness to experience , psychology , personality , big five personality traits , population , social psychology , business administration , business , sociology , accounting , demography
Traditionally, auditors have been slow to adopt new technologies in their profession. One proposed explanation for this phenomenon is a psychological factors model, which hypothesizes that auditors have a personality structure that makes them reluctant to accept change and innovation. We tested this model by assessing personality traits related to “Openness to Experience” in auditors and comparing their trait strength to that of the general population. Contrary to the model's predictions, auditors as a group exhibited average to above average levels of Openness‐related traits. Additional tests indicated that “influential” auditors (partners and those in large firms) had higher levels of Openness than their less influential colleagues, making it unlikely that innovation‐resistant auditors act as technological gatekeepers in the profession. We conclude that auditors in general, and influential auditors in particular, have the psychological resources necessary to accept change and innovation in their profession. Future research should focus on social/organizational factors as an explanation for the slow adoption of new auditing technologies. Résumé Traditionnellement, les vérificateurs comptables sont lents à adopter de nouvelles technologies. L'article propose d'expliquer ce phénomène par des facteurs psychologiques, ce qui présuppose que c'est la structure de leur personnalité qui les rend réfractaires au changement et à l'innovation. Nous avons testé ce modèle psychologique en évaluant les traits de la personnalité reliés à “l'ouverture à l'expérience” chez les vérificateurs par rapport à la population en général. Contrairement aux attentes, les vérificateurs — en tant que groupe — se sont situés dans la moyenne et même au‐dessus de la moyenne. Des tests supplémentaires ont indiqué que les vérificateurs “influents” (les associés et ceux qui travaillent dans des grandes firmes) affichaient un degré d'ouverture plus grand que leurs collègues moins en vue, ce qui rend improbable que les vérificateurs résistant à l'innovation fassent obstruction au changement technologique. Conclusion: les vérificateurs en général, et les vérificateurs influents en particulier, sont dotés des ressources psychologiques nécessaires à l'acceptation du changement et de l'innovation dans leur profession. Une prochaine recherche devrait se concentrer sur les facteurs sociaux/organisationnels pour expliquer la lenteur d'adoption des nouvelles techniques de vérification.