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An Interpretive Approach To Understanding and Improving Business‐Government Relations
Author(s) -
Taylor D. Wayne
Publication year - 1987
Publication title -
canadian journal of administrative sciences / revue canadienne des sciences de l'administration
Language(s) - English
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.347
H-Index - 48
eISSN - 1936-4490
pISSN - 0825-0383
DOI - 10.1111/j.1936-4490.1987.tb00003.x
Subject(s) - elite , government (linguistics) , perception , politics , political science , affect (linguistics) , business relations , closing (real estate) , humanities , sociology , psychology , public relations , law , philosophy , linguistics , communication , neuroscience
Results of a 1984 survey of business and government elites in Canada showed that the business elite perceived business‐government relations to be fair, to have deteriorated over the past ten years and to be worse than those in the United States. The government elite, on the other hand, perceived relations with business to be good, to have remained about the same or to have become better, but also to be worse than those in the United States. More strikingly, the survey produced evidence that personal values, attitudes, beliefs and perceptions correlated positively with elite perceptions of business‐government relations. This supported the hypothesis that subjective interpretations of reality can affect significantly the outcome of business‐government interactive/consultative processes. It is recommended that to improve relations in Canada, various mechanisms of interaction be employed to promote and facilitate a better understanding by the two elites of each other's personal values, attitudes, beliefs, and perceptions. Political will, though, is a major prerequisite to closing this perceptual gap. Résumé Les résultats d'une étude effectuée en 1984 auprès de l'élite commercial? et gouvernementale au Canada a démontré que l'élite commerciale croyait que les relations entre le gouvernement et le milieu des affaires étaient assez bonnes, qu'elles s'étaient détériorées au cours des dix dernières années et qu'elles étaient moins bonnes qu'aux Etats‐Unis. L'élite gouvernementale, quant à elle, percevait ses relations avec le milieu des affaires comme bonnes, qu'elles étaient demeurées sensiblement pareilles ou étaient même devenues meilleures, mais qu'elles étaient moins bonnes qu'aux Etats Unis. L'étude démontrait, remarquablement, que les valeurs, les attitudes, les convictions et perceptions individuelles correspondaient positivement aux perceptions de l'élite quant aux relations entre le milieu des affaires et le gouvernement. Ces résultats out soutenu l'hypothèse selon laquelle les interprétations subjectives de la réalité peuvent affecter de facon significative le dénouement des processus d'interaction et de consultation entre le gouvernement et le milieu des affaires. Afin d'ainéliorer les relations au Canada, l'étude recoinmande l'einploi de plusieurs mécanismes d'interaction afin de pioinouvoir et faciliter une meilleure compréhension entre les deux élites quant à leurs valeurs, attitudes, convictions et perceptions individuelles. La volonté politique constitue cependant une condition importante pour conibler ce fossé perceptuel.