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Gender and Promotion at Canadian Universities *
Author(s) -
STEWART PENNI,
ORNSTEIN MICHAEL,
DRAKICH JANICE
Publication year - 2009
Publication title -
canadian review of sociology/revue canadienne de sociologie
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.414
H-Index - 35
eISSN - 1755-618X
pISSN - 1755-6171
DOI - 10.1111/j.1755-618x.2009.01203.x
Subject(s) - promotion (chess) , humanities , political science , sociology , art , law , politics
De 1984 à 1999, pour tous les professeurs à plein temps des universités canadiennes, les modèles de temps de défaillance accéléré démontrent que le temps médian de promotion de professeur adjoint à professeur agrégé est de 0,4 année plus long pour les femmes. Il n'y a pas de pic correspondant au refus de titularisation après cinq à sept ans de service, et les augmentations salariales des promotions sont stables avec le temps. Le temps médian de promotion de professeur agrégéà professeur titulaire est d'un an plus long pour les femmes que le temps médian pour les hommes, soit 8,3 années. Les différences entre les disciplines et entre les institutions n'ont qu'un petit impact sur les évaluations des différences entre les genres dans les promotions. From 1984 to 1999, for all full‐time faculty members at Canadian universities, accelerated failure time models show that the median time to promotion from assistant to associate professor is 0.4 years longer for women. There is no peak corresponding to denial of tenure after five to seven years of service and rates of promotion are stable over time. Women's median time for promotion from associate to full professor is one year longer than the median for men, 8.3 years. Variation between disciplines and between institutions has little impact on estimates of gender differences in promotion.

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