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British Columbia's Capital Asset Management Framework: Moving from transactional to transformative leadership on public‐private partnerships, or a “railroad job”?
Author(s) -
Cohn Daniel
Publication year - 2008
Publication title -
canadian public administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.361
H-Index - 26
eISSN - 1754-7121
pISSN - 0008-4840
DOI - 10.1111/j.1754-7121.2008.00005.x
Subject(s) - political science , transformational leadership , public administration , government (linguistics) , asset (computer security) , transactional leadership , public relations , management , economics , philosophy , linguistics , computer security , computer science
The Liberal government of British Columbia has had more success in terms of the number of public‐private partnerships they have managed to initiate than any other provincial government in Canada. Observers (whether they believe that this outcome is positive or negative) agree that part of this success is attributable to the Capital Asset Management Framework. Introduced in the spring of 2002, this is a province‐wide set of guidelines that all ministries, agencies and other public organizations seeking a provincial capital contribution must follow. Adherents of the New Public Management (such as the Liberal government) frequently state that public managers ought to be empowered to produce results, and judged by these results, not tied to rigid procedures. With this in mind, this article examines the Capital Asset Management Framework guidelines. The article also explores how the introduction of the Capital Asset Management Framework shifted government leadership on the issue from a transactional to a transformational basis, potentially helping to alleviate the previous difficulties the government had with this issue. Evidence for this analysis is derived from documents, newspapers and trade, interest group and think‐tank publications, as well as interviews that the author conducted with public‐ and private‐sector executives in the summer and fall of 2005. Sommaire : Le gouvernement Libéral de la Colombie‐Britannique a remporté plus de succès que tout autre gouvernement provincial au Canada, en termes du nombre de partenariats publics‐privés qu'il a réussi à lancer. Les observateurs (que ceux‐ci pensent que ce résultat soit positif ou négatif) conviennent que ce succès est en partie attribuable au «Cadre de gestion des immobilisations». Lancé au printemps de 2002, ce projet est un ensemble de lignes directrices pour la totalité de la province que doivent respecter tous les ministères, toutes les agences et autres organismes publics cherchant à obtenir des contributions provinciales pour leurs dépenses en capital. Les adhérents à la Nouvelle gestion publique (comme le gouvernement Libéral) déclarent fréquemment que les gestionnaires publics devraient être habilités à produire des résultats, àêtre jugés sur ces résultats, et non pas être liés par des procédures rigides. C'est dans cet état d'esprit que l'article examine les lignes directrices du Cadre de gestion des immobilisations. L'article étudie également en profondeur comment l'introduction du Cadre de gestion des immobilisations a fait basculer l'approche des dirigeants gouvernementaux sur la question d'une base transactionnelle à une base transformationnelle, en aidant éventuellement à alléger les difficultés précédentes que le gouvernement avait rencontrées à cet égard. Les éléments de preuve de cette analyse proviennent de documents, de journaux et de revues spécialisées, de publications de groupes d'intérêts et de groupes de réflexion, ainsi que d'interviews que l'auteur a menées auprès du personnel de direction des secteurs public et privé au cours de l'été et de l'automne 2005.

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