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Active conscience or administrative vanguard?: The Commissioner of Official Languages as an agent of change
Author(s) -
MacMillan C. Michael
Publication year - 2006
Publication title -
canadian public administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.361
H-Index - 26
eISSN - 1754-7121
pISSN - 0008-4840
DOI - 10.1111/j.1754-7121.2006.tb01977.x
Subject(s) - parliament , vanguard , political science , humanities , conscience , federalism , public administration , commission , law , politics , philosophy , history , archaeology
The Commissioner of Official Languages as an officer of Parliament is a unique institution that incorporates multiple roles. Its ombudsman component is enhanced by extensive powers of independent action, which make it an important instrument for holding governmental institutions accountable. Developments in federal language policy since 1980 have given far greater importance to its policy advocacy role, which has been vigorously exercised in legal interventions. Its role as linguistic auditor general is perhaps overstated and may more accurately be described as an enhancement of the ombudsman role. Its significant policy advocacy role poses issues regarding the significance of federalism in regard to language matters. Increasingly the commission conducts its activities at the intersection point of constitutional jurisdictions and must navigate around them. In addressing this ongoing challenge, the Commissioner of Official Languages operates in the vanguard of public officials on the national unity front. Sommaire: Le poste de Commissaire aux langues officielles en tant que haut fonctionnaire du Parlement est une institution unique qui intègre de multiples rôles. Son rôle de médiateur comporte de vastes pouvoirs d'action indépendante, qui en font un instrument important en ce qui concerne l'imputabilité des institutions gouverne‐mentales. Les nouveautés dans la politique linguistique fédérate depuis 1980 ont accordé une importance beaucoup plus grande à son rôle de défenseur de politiques vigoureusement exercé dans certaines interventions judiciaires. Son rôle de Vérificateur général linguistique est peut‐être exagéré et pourrait être plus correctement décrit comme un rôle amélioré de protecteur du citoyen. Son rôle considerable de défenseur de politiques pose des problèmes concernant l'importance du fédéralisme face aux questions linguistiques. La Commission exerce de plus en plus ses activités au point d'intersection de juridictions constitutionnelles et doit en tenir compte. Face à ces défis permanents, le Commissaire aux langues officielles agit à l'avant‐garde des agents publics sur le front de l'unité nationale.