Premium
Federal‐provincial overlap and civil servants: The case of occupational training in Quebec and Ontario
Author(s) -
Marc Mugali
Publication year - 2005
Publication title -
canadian public administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.361
H-Index - 26
eISSN - 1754-7121
pISSN - 0008-4840
DOI - 10.1111/j.1754-7121.2005.tb01597.x
Subject(s) - political science , civil servants , accountability , government (linguistics) , work (physics) , public administration , humanities , welfare economics , economics , law , engineering , politics , art , mechanical engineering , philosophy , linguistics
Abstract: Over the years, many analysts concerned with how federations work have presented the reduction of federal‐provincial overlap and duplication as a way of decreasing intergovernmental tensions. While some have presented such overlap and duplication as inevitable or even beneficial, few have tried to establish how overlap really works and whether it is a real problem or one created mostly by the provincial governments who wish to take issue with problems of federal funding, joint management and accountability. Despite the fact that, ultimately, public officials are in the best position to determine whether federal‐provincial overlap is causing inefficiencies, even fewer studies have focused on how they manage their relationship in areas where two orders of government are involved. Thus, the best possible source of information on how overlapping sectors are managed has been left out. This article examines how federal and provincial officials in Quebec and Ontario have managed their relationships in a particularly contentious sector: occupational training. Sommaire: Plusieurs auteurs intéressés au fonctionnement des fédérations ont, au fil des années, eu tendance à présenter la réduction des empiètements et recoupements fédéraux‐provinciaux comme une façon de décroître les tensions intergouvememen‐tales. Certains auteurs ont présenté de tels chevauchements et dédoublements comme inévitables, voire bénéfiques, mais peu d'entre eux se sont penchés sur le véritable fonctionnement de ces empiètements et s'ils sont un problème réel ou principalement créé par les gouvernements provinciaux désireux d'engager une contro‐verse sur des questions de financement, de gestion commune et d'imputabilité. Bien que les fonctionnaires soient, ultimement, les mieux placés pour évaluer si les recoupements fédéraux‐provinciaux constituent des sources d'inéfficience, peu d'écrits font état de la façon dont les fonctionnaires gèrent leurs relations lorsque les deux ordres de gouvernement sont impliqués. Ainsi, la meilleure source d'information sur la gestion de ce type de recoupements nous manque. Dans cet article, nous examinons comment des fonctionnaires fédéraux et provinciaux au Québec et c'n Ontario ont géré leurs relations dans un domaine particulièrement conflictuel: la formation de la main‐d'æeuvre.