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Beyond government? The appeal of public‐private partnerships
Author(s) -
Boase Joan Price
Publication year - 2000
Publication title -
canadian public administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.361
H-Index - 26
eISSN - 1754-7121
pISSN - 0008-4840
DOI - 10.1111/j.1754-7121.2000.tb01561.x
Subject(s) - private sector , political science , public sector , public administration , rationalisation , humanities , law , art , geometry , mathematics
For the most part, the considerable literature devoted to new public management and its subset, alternative service delivery, is enthusiastic about this dramatic shift in the role of government. The metaphor of governments steering and the private sector rowing is an appealing one that has captured the imagination of many public officials and private‐sector actors. Literature addressing this phenomenon tends to focus on defining the characteristics of various forms of government/private‐sector partnerships rather than on assessing the implications and results of actual examples. This paper attempts to complement the existing literature by examining six cases of public‐private partnerships, of both high and low profile ‐ the Confederation Bridge; the Charleswood Bridge; canarie ; rcmp /Disney; Highway 407; and Chrysler/University of Windsor. The higher profile (and more costly) ventures have placed heavy emphasis on confidentiality, which raises concerns about traditional public‐sector values such as accountability, democracy and neutrality. The conclusions of the article are mixed, but at the very least, they suggest the need for caution, vigilance and scepticism. Sommaire: Pour la plupart, c'est avec beaucoup d'enthousiasme que les nombreaux auteurs d'ouvrages sur la Nouvelle gestion publique et sur son sous‐élément, la Prestation de services de rechange, envisagent cette modification fondamentale du rôle des gouvernements. Le gouvernement au gouvernail et le secteur privé aux avirons, voilà une métaphore qui a fait de nombreux adeptes parmi les hauts fonctionnaires comme chez les intervenants du secteur privé. Plutôt que d'évaluer les répercussions et les résultats d'exemples réels, les ouvrages sur ce sujet ont tendance à focaliser sur la définition des caractéristiques de divers types de partenariats entre le gouvernement et le secteur privé. Dans cet article, nous visons à complémenter ces ouvrages en analysant six partenariats public‐privé entrepris par divers paliers de gouvernement au cours des années 1990. La gamme des cas choisis est assez hétéroclite, certains étant très connus, d'autres moins: les ponts Confédération et Charleswood, CANARIE, GRC/Disney, l'Autoroute 407 et Chrysler/Université de Windsor. Les projets plus connus (et plus coûteux) ont fortement souligné leur caractère confidentiel, ce qui a mis en cause les valeurs traditionnelles du secteur public, telles l'imputabilité, la démocratic et la neutralité. Selon les conclusions de l'article, qui sont variées, il conviendrait pour le moins de procéder avec prudence, vigilance et scepticisme.