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Alternatives to NIMBY gridlock: voluntary approaches to radioactive waste facility siting in Canada and the United States
Author(s) -
Rabe Barry G.,
Gunderson William C.,
Harbage Peter T.
Publication year - 1994
Publication title -
canadian public administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.361
H-Index - 26
eISSN - 1754-7121
pISSN - 0008-4840
DOI - 10.1111/j.1754-7121.1994.tb00885.x
Subject(s) - nimby , radioactive waste , waste management , hazardous waste , political science , engineering , environmental planning , environmental science , civil engineering
Abstract: Neither Canada nor the United States has sited a new radioactive waste management facility in more than two decades, despite the continuous generation of new waste and the paucity of reliable disposal capacity. Both nations have stirred up considerable political controversy in attempting to site such facilities, with aggressive local collective action consistently blocking proposals. Building on provincial experience in gaining public support for hazardous waste facility siting tlirough a voluntary, comprehensive process, both Ontario and Nebraska Show signs of devi˜ting from the classic Not‐in‐My‐Back‐Yard (NIMBY) response for low‐level radioactive waste. Through a variation of the process used successfully in Alberta and Manitoba for hazardous waste, Ontario and Nebraska have demonstrated the potential applicability of these alternative siting principles for radioactive waste. Sommaire: Ni le Canada, ni les États‐Unis n'ont construit de nouvelles installations de gestion des déchets radioactifs depuis plus de deux décennies, malgré la production continuelie de déchets supplémentaires et malgré la faible capacité d'élimination fiable. Les deux nations ont déclenché des controverses politiques considérables en essayant de mettre en place de telles installations, et leurs propositions ont été bloquées systématiquement et agressivement par les collectivités locales. Forts de certaines expériences provinciales pour gagner le soutien du public ewers l'emplacement d'une installation de déchets dangereux grâce à un processus volontaire et extensif, l'Ontario et le Nebraska semblent dévier de la réaction classique “ pas dans ma cour ” en ce qui concerne les déchets faiblement radioactifs. Par l'entremise d'une variante du processus utilisé avec succès pour les déchets dnngereux en Alberta et au Manitoba, l'Ontario et le Nebraska ont démontré qu'on pourrait éventuellement appliqucr ces principes de rechanpe pour l'emplacement des installations traitant les déchets radioactifs.