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Organizational competence in business‐government relations: A managerial perspective
Author(s) -
Bartha Peter F.
Publication year - 1985
Publication title -
canadian public administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.361
H-Index - 26
eISSN - 1754-7121
pISSN - 0008-4840
DOI - 10.1111/j.1754-7121.1985.tb00511.x
Subject(s) - competence (human resources) , political science , politics , public relations , business administration , humanities , business , management , economics , philosophy , law
A recurring theme in the literature of business‐government relations is the need to improve the private sector's ability to effectively deal with non‐economic external issues. Among practitioners, too, there is a growing awareness that it makes good sense for the business firm to approach its socio‐political environment in a systematic way and to integrate external sensitivity with internal planning and decision‐making. Research evidence indicates, however, that there are organizational impediments to the “internalization” of external considerations. Some of the major impediments within corporations reflect insufficient understanding of the political system, inherent weaknesses in the socio‐political data base, non‐operational concepts of social responsibility, and a narrowly defined mandate for the public affairs function. The article examines these impediments and suggests possible avenues for further research into factors that determine organizational competence in dealing with external issues and publics. Sommaire: Les ouvrages qui traitent des relations entre le gouvernement et le monde des affaires parlent souvent de la nécessité, pour le secteur privé, de pouvoir régler plus efficacement les questions externes qui ne sont pas d'ordre économique. Les praticiens eux‐mêmes sont de plus en plus persuadés qu'il est logique, pour une société commerciale, d'adopter une approche systématique envers son milieu socio‐politique et d'incorporer à la planification et aux pro‐cessus décisionnels internes une certaine perception du monde extérieur. Les recherches effectuées semblent toutefois prouver que “l'internalisation” des considérations externes se heurte à des obstacles liés à l'organisation. Les principaux obstacles rencontrés au sein des compagnies proviennent d'une connaissance insuffisante du systéme politique; de faïblesses inhérentes aux bases de données socio‐politiques, de concepts de responsabilité sociale insatisfaisants et de la trop grande étroitesse de définition des fonctions dans le domaine des affaires pu‐bliques. L'article analyse ces obstacles et propose certaines orientations de recherche pour analyser les facteurs qui déterminent la compétence des organismes à régler les questions externes et à traiter avec leur public.