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The rise and fall of policy planning and research units: organizational perspective
Author(s) -
Prince Michael J.,
Chenier John A.
Publication year - 1980
Publication title -
canadian public administration
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.361
H-Index - 26
eISSN - 1754-7121
pISSN - 0008-4840
DOI - 10.1111/j.1754-7121.1980.tb00315.x
Subject(s) - bureaucracy , political science , humanities , politics , art , law
. Some observers have suggested the success of policy planning and research units depends upon the receptivity of the political system to rationality. Others have put forward personality traits such as ‘flair’ and ‘diplomatic style’ as the major determinants of policy unit effectiveness. Neither of these would seem to provide an adequate explanation for the Canadian experience. This paper concentrates on the profile which a policy unit might assume in any given organization. A two‐dimensional model is presented based on the degree of initiative and the degree of visibility of policy units. Against the background of the model, the experience of these units in the Canadian federal bureaucracy suggests that while most start as highly visible and proactive, they later tend toward being invisible and reactive. With a view to the future, a distinction is made between the policy development function and the policy unit. If policy development and analysis is to survive, greater use must be made of a task force approach. If permanent policy units are to survive and be effective, they should adopt a modest role and profile. Sommaire. Daprks certains observateurs, le succhs des services de recherche et de planification depend de la rkceptivitk du systkme politique A la rationalitk. D'autres considkr nt que des traits de caractkre tels que le a flair n ou le a style diplomatique n sont les klements dkterminants de l'efficacitb de ces services. Aucune de ces dew hypothhses ne semble expliquer totalement l'experience canadienne. L'auteur de cet expose centre ses observations sur le profil n que ces services de recherche et de planification pourraient adopter dans une organisation donnee. I1 offre un modkle bi‐dimensionnel bask sur le degrd d'initiative et le degre de singularit6 de ces services. En utilisant ce modhle, l'analyse du fonctionnement de ces services dans la bureaucratie fkdkrale canadienne semble ind quer que la plupart d'entre eux sont remarquables et font preuve de beaucoup d'initiative au dkpart mais qu'ils tendent A devenir invisibles et rkactifs par la suite. Pour l'avenir, l'auteur sugghre de distinguer entre la fonction d'klaboration de politiques et le service de recherche et de planification. D'aprhs h i, si nous voulons que cette fonction d'elaboration et d'analyse des politiques survive, il faudra gkneraliser l'approche a groupe de travail m. De plus, si les services permanents de planification et de recherche dksirent survivre et être efficaces, ils devront adopter un rdle et un profil modestes.