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Some facts and fantasies concerning local autonomy in the Metropolitan Toronto school system
Author(s) -
Williams T.R.
Publication year - 1974
Publication title -
canadian public administration
Language(s) - English
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.361
H-Index - 26
eISSN - 1754-7121
pISSN - 0008-4840
DOI - 10.1111/j.1754-7121.1974.tb02025.x
Subject(s) - operationalization , metropolitan area , autonomy , political science , context (archaeology) , ratification , corporate governance , prerogative , public administration , politics , sociology , geography , law , business , finance , philosophy , archaeology , epistemology
. The Metropolitan Toronto school system is a unique form of educational governance in North America, as a two‐tiered federation. Tension has always existed between the levels over which had the prerogative LO make binding decisions on issues without involvement, consultation, or ratification by the other. Recently, the area school boards, which constitute the lower level, have increasingly raised this issue, protesting that their local autonomy is being eroded. This paper describes the operationalization of the local autonomy concept and points out that it is dynamic, being dependent upon at least four factors: the nature of the issue being discussed, the political context of the issue, the nature of the deadlines related to the issue, and the particular blend of people involved at the time of operationalization. The paper further explores the nature and sources of infringement upon the autonomy of local school boards in the Metropolitan Toronto federation. It identifies and discusses three major sources: ( a ) from the provincial level, ( b ) from the Metro level, and ( c ) from other area boards. The paper concludes that perhaps the greatest threat to area board autonomy in a period of financial cutbacks is the other area boards themselves who are forced into competition for financial resources due to the fact that accepted bases for agreeing upon relative inter‐board needs have not been fully developed. Sommaire. L'organisation scolaire du Toronto métropolitain est unique en Amérique du Nord. Etant composée de tension entre les deux niveaux car chacun cherche à prendre des décisions exécutoires sans consultation avec l'autre ou ratification de sa part. Récemment les commissions scolaires qui constituent le palier inférieur ont soulevé cette question, en se plaignant de plus en plus de l'drosion de leur autonomie locale. L'auteur de cet esposé décrit l'application pratique du concept de l'autonomie locale et fait remarquer qu'il est dynamique, car il dépend d'au moins quatre facteurs: la nature de la question à l'étude et son contexte politique, la nature des échéances qui s'y rapporte, et la composition du groupe participant à l'exercice. L'auteur étudie aussi la nature et les sources d'ingérence dans les affaires des commissions scolaires locales de la fédération du Toronto métropolitain. Il dégage et étudie trois sources principales: ( a ) le niveau provincial, ( b ) le niveau métropolitain, ( c ) les autres commissions scolaires. Il conclut que la plus grande menace pour l'autonomie des commissions scolaires en période d'austérité financiére provient sans doute des autres commissions scolaires car elles sont forcées de se faire concurrence entre elles pour obtenir des ressources financiéres. Cette concurrence est accrue de fait que les critères d'évaluation des besoins sont encore imprécis et ne font pas l'objet dun accord général.

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