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Consumer Welfare and the Livestock Economy in the United States
Author(s) -
Anderson Ronald,
Wilkinson Maurice
Publication year - 1983
Publication title -
canadian journal of agricultural economics/revue canadienne d'agroeconomie
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.505
H-Index - 37
eISSN - 1744-7976
pISSN - 0008-3976
DOI - 10.1111/j.1744-7976.1983.tb01222.x
Subject(s) - quarter (canadian coin) , consumption (sociology) , economics , welfare , livestock , econometric model , agricultural economics , consumer welfare , agriculture , government (linguistics) , economy , market economy , geography , econometrics , social science , linguistics , philosophy , archaeology , sociology , forestry
This paper analyzes the responsiveness of the U.S. meal and poultry economy to government policies and other exogenous shocks. In particular, it focuses on the measurement of changes to consumer welfare. An explicit econometric model represents the supply of fed beef, non‐fed beef, pork, and poultry. The interaction between the livestock and feed grain markets is captured by an econometric model of the supply and demand for corn. Consumers are represented by a complete system of consumer demand equations . The model is used for a partial analysis of the welfare effects of an actual agricultural policy decision – the sale of large quantities of grains to the Soviet Union in the third quarter of 1972. The loss to consumers that is attributable to the increased grain exports did not reach its maximum until the second quarter of 1975. It is estimated that from 1973 to 1975 consumers suffered a reduction of meat consumption that they valued at $4.5 billion (U.S.). Furthermore, the effects of grain exports proved far larger than the losses due to the poor harvests of 1973 and 1974. Finally, attempts to shelter consumers from the effects of the increased corn exports, either by increased beef imports or increased grain price supports, would have had little success in compensating for the welfare loss actually suffered . Ce papier fail ľanalvse de la réponse des secleurs de ľéconomie quant au bétail et à la volatile aux Flats‐Unis, leur reponse à la politique gouvernementale et àďaulres coups exterieurs. En particulier, ce papier se concentre sur la mésure des changements au bien‐étre des consommateurs. Un modèle économélrique qui est explicite représente ľapprovisionnement du boeuf brouiè, du boeuf non‐broutè, du pore el de la volatile. Lcar;action réciproque entre le marché de bélail et ie marché de grains est monlré par un modèle economelrique de ľoffre et de la demande pour mats. Un système des équations représente la demande des consommateurs. On utilise le modèle pour ohtenir une analyse parlielle des effeis en ce qui concerne le bien‐étre des consommateurs par suite ďune décision faite ďune politique agricole – celle de la vente de grandes quantités de grains àľUnion soviétique au troisième quartier de ľannée 1972. Laperte aux consommateurs qui est imputable aux exportations augmentées de grain n'apas alteinl son maximum jusqu'au deuxième quartier de 1975. On a eslimé que de 1973 à 1975 les consommateurs ont essuyé une réduction de la consommation de viande qu'ils ont evaluée à$4.5 milliard (en dollars des Etats‐Unis). En outre, les effeis des exponations de grain se sont révélés bien grands que les effets des moissons maigres de 1973 el 1974. Finalement, des efforts de protéger les consommateurs contre les effets des exportations augmentees de maìs, ou par des importations augmentees de boeufou par augmenter le soutien pour le prix du grain auraient eu peu de succès à remplacer les pertes en fait essuyées .