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INDUSTRIAL ORGANIZATION AND POLICY DEVELOPMENT IN A DYNAMIC WORLD
Author(s) -
Hurnanen R.,
Devine G.,
Hawkins M.
Publication year - 1969
Publication title -
canadian journal of agricultural economics/revue canadienne d'agroeconomie
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.505
H-Index - 37
eISSN - 1744-7976
pISSN - 0008-3976
DOI - 10.1111/j.1744-7976.1969.tb00878.x
Subject(s) - development (topology) , process management , business , mathematics , mathematical analysis
A relatively new area for research has been gaining popularity through the past decade. Christened industrial organization, the subject area deals with market structure, conduct and performance, and how public policy is used to alter the operation of the economy. A survey of the literature indicates lack of consensus in many areas: Wide gaps exist between normative criteria and their empirical application, but areas of research are opening which require a systems approach and a broad perspective such as that of industrial organization. Defining adequate performance for firms and industries to insure wide benefits from public policy, and more pertinent analyses of public and private policies operating in an imperfect environment, appear to be the most pressing problems. LE RAPPORT DE ľORGANIZATION INDUSTRIELLE ET LE DEVELOP‐PEMENT ďUNE POLITIQUE PUBLIQUE ‐ On peut considérer ľorganisation industrielle comme un mariage entre une ferme théorie micro‐économique et des macro‐concepts des marches et des industries dans leur rapport avec les objectifs socio‐économiques de la nation. Les formes définies de la concurrence résultant de différentes formations structurelles ne peuvent pas être jugées par elles‐mêmes; autrement dit, lew rendement est influenceé par les conditions existantes dans ďautres secteurs de ľéconomie. Ainsi “l'idéal” de la concurrence parfaite n'est fonctionnel qu'en autant qu ‘il ne se produise pas de déviations de la concurrence parfaite à trovers toute ľéconomie. Sous réserve des contraintes publiques, le système économique canadien fonctionne sous ľentreprise privée. ľenquéte centrale de ľorganisation industrielle parte sur la politique publique parce que ces contraintes déterminent très souvent le bien‐être de la nation. La triade complexe de la structure, du maniement et du rendement du marché forme la base de la recherche moderne sur ľorganisation industrielle. Les résultats de nombreux efforts concernant ľorganisation industrielle faits durant les années 1940 et 1950 [16, 4, 3, 8, 12,13, 15, 19] bien qu'ilsaient contribué des idées et des concepts important au domaine, ont laissé beaucoup à désirer en ce qui concerne une théorie générate sur ľorganisation industrielle. Le traitement le plus approfondi du sujet se trouve dans Industrial Organisation [2] de Joe S. Bain. Son livre réussit à combiner la théorie existante des prix avec la preuve empirique ďétudes transversales pertinentes dans une tentative de généraliser les les deux approches. La contribution la plus importante au texte est le développement intensif de la gestion des affaires et de son rapport avec les différents genres de structures du marché. Toutefois, Bain ne résout pas le problème de ľobservation indépendante de la gestion. D'autre part, John Maurice Clark a essayéďanalyser et ďexpliquer la conduite de ľentreprise et de ľindustrie comme elle seproduit réellement, plutôt que ďune approche théorique [3] John Kenneth Galbraith a parté son attention sur les corporations géantes et la participation croissante du secteur public [11]. Stephen H. Sosnick a bravement tentéďélaborer un ensemble de critères pour la concurrence efficace. L'organisation du marché est habituellement répartie en trois sous‐groupes en ce qui concerne ľexamen: la structure, le maniement et le rendement. La structure porte sur les particularités de ľorganisation du marché; le maniement se rapporte aux lignes de conduite et aux stratégies de ľ entreprise envers ses concurrents sur le marché, et le rendement est la contribution ďune entreprise ou ďune Industrie relative à sa possibilitéďatteindre les grands objectifs du plein emploi, de la production effective, de la stabilité des prix et de la production, et de la juste répartition du revenu. Quant à la structure du marché, Bain a conclu que la concentration très élevée et les hautes barrières a 1'entrée ou la différenciation poussée des produits amènent un piètre rendement. IIignore les motifs sous‐jacents à la concentration élevée tels que ľefficacité, la capacité flexible, et 1'asswance ďune “vie économique”. Clark déclare que la concentration du marché est une conséquence naturelle des forces concurrentielles. Dans un système concurrentiel, il y a toujours la chance ďune mort économique simplement à cause de ľambiance concurrentielle. La concurrence existe encore sous la concentration élevée, mais surtout par I'intermédiaire de variables non‐prix. L'analyse du rendement du marché demande des normes fondamentales de comparison. Le rendement réel dans diverses dimentions peut‐être mesuré par ľentremise ďun certain nombre de crit̀eres appropriés, mais il est difficile de les comparer à certaines “alternatives possibles”. Jusqu'ici les efforts dans ce domaine surpassent de beaucoup les résultats. La concurrence efficace peut‐être definie comme une condition socialement et économiquement souhaitable dans une Industrie. Ces derniers temps, ľaccent de la politique publique a varié de la concurrence pure (une situation idéale mais inaccessible) à une concurrence qui est souhaitable et possible. Vu que la concurrence monopolisante est la régie plutôt que ľexception, on devrait s'intéresser à cette sorte de concurrence étant donné qu'elle fonctionne assez bien. Elle donne aussi au gouvemement certains critères (bien qu'imparfaits) quil'aide a decider sa politique. Le système de la libre entreprise présuppose ľexistence de la liberté de décision àľégard de la production et de la consommation. La liberté de decision amène la planification; la planification inévitablement détermine la demande, coordonne ľapprovisionnement et aboutit au pouvoir sur le marché. La stabilityé et la securite de la production et de la distribution aident à assurer ľefficacité de la production et la survivance de ľentreprise. Beaucoup reste à faire dans le domaine de ľorganisation industrielle. On n'a pas encore formulé un ensemble fondamental de critères sur le rendement ďune organisation. ľensemble de ľorganisation du marché n'a pas été formée dans un contexte ďéquilibre général qui permettrait la spéculation sur la qualityé optimale de modifier différentes formations du marché. La question demeure: la concentration est‐elle synonyme avec un rendement défavorable? II devient de plus en plus nécessaire ďétablir des théories concernant les conglomérats corporatifs. Le principal problème devient non seulement celui de spécifier des objectifs de fonctionnement, mais de déterminer les particularités de fonction‐nement ďune telle organisation. De plus, on doit porter attention aux concepts de la concurrence efficace comportant le but principal de rendre les critères fonctionnels. On a besoin ďune théorie réaliste ďéquilibre general qui est pertinente aux conditions dynamiques. SUMMARY The state of current knowledge in market organization encompasses a broad area. It centers on industries and markets and branches in both directions to firms and economy parameters. Government participates in a regulatory, facilitative, and perchance unwarranted manner. Analytics range from neoclassical static theory to ad hoc dynamics, from positive quantitative surveys to normative theorizing. Attitudes concerning the utility of the subject range through disdain and indifference to utmost respect. Future research results will hopefully direct sentiments toward the latter alternative. This article has followed market organization from its inception to the present. It has reviewed several of the major treatises and gained a small insight into current problems. The direction for further progress is evident. More attention needs to be paid to the concepts of effective competition with the primary goal of making the criteria operational. Research into the internal mechanism of giant corporations is essential. Indirect effects of government policy should be carefully scrutinized. Finally, the interaction of different markets cannot be neglected. A theory of general equilibrium that is in line with real dynamic situations is needed. Perhaps then we can judge the relative merits of organizational variants and strive towards that structure that maximizes the elusive welfare function.

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