Premium
PHILOSOPHICAL DIMENSIONS OF RURAL POVERTY IN CANADA *
Author(s) -
Menzies M. W.
Publication year - 1968
Publication title -
canadian journal of agricultural economics/revue canadienne d'agroeconomie
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.505
H-Index - 37
eISSN - 1744-7976
pISSN - 0008-3976
DOI - 10.1111/j.1744-7976.1968.tb02447.x
Subject(s) - poverty , lagging , dignity , welfare economics , political science , agriculture , development economics , economics , humanities , economic growth , geography , medicine , philosophy , archaeology , pathology , law
Recently, new dimensions of social awareness and economic enlightenment have begun to influence policy in a search for “the means of attenuating those inevitable evils which are already apparent”. There is now a general concensus about the massive extent of rural poverty. There is general agreement that the causes of rural poverty can be found in a lack of aggregate demand in periods of slow economic growth, in a lagging response to structural change required by technological change within commercial agriculture, and in the lack of alternative opportunities for resources no longer needed in agriculture. In finding answers the whole range of economic and social policy is involved, including general fiscal and monetary policy, policies designed to reduce regional disparties and improve educational training and employment opportunities, specific policies to facilitate the efficient adjustment of commercial agriculture, and entirely new policies designed to provide a level of income maintenance viewed, not only as essential to human dignity and welfare but, equally, as essential to the attainment of economic efficiency which the persistence of under‐utilized resources can effectively block . PAUVRETÉ RURALE AU CANADA II nous faut trouver un moyen de survie qui fonctionne bien. Pour ce faire, nous devons sélectionner les priorités, el développer des méthodes pratiques de solution. Ce ne sera pas facile . A tous les stages il nous faudra faire le poids entre l'efficacité et le bien‐être social, entre les profits corporatifs et la liberté individuelle, entre les opportunités et les tensions de la vie urbaine et les attractions et les opportunités limités de la vie rurale . Nous avons les moyens de régler ces problèmes de pauvreté avant que n'adviennent chez nous les ébranlements extrêmes que nous constatons ailleur dans le monde. Regardons de près ce qu'ont fait nos programmes universels de bien‐être social pour régler le problème de pauvreté. Ces programmes sont simplement passés du gouvernement fédéral aux gouvernements provinciaux et jusqu'aux gouvernements municipaux qui utilisent nratiouement les méthodes de l'inquisition avant de répartir leurs fonds de bien‐être trap limités . L'homme doit mettre à son service la technologie et non pas se laisser controller par elle. Si l'homme est destinéà rnaintenir son humanité, on doit lui laisser quand même ses valeurs de base. Ceci voudrait dire un maximum de liberté individuelle. C'est ce qui lui permettra une certains solicitude et une vue d'ensemble plus claire de la destiné humaine .