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Host plant relationships and life cycles of the aphid genus Cryptomyzus
Author(s) -
Guldemond J. Adriaan
Publication year - 1991
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1991.tb01447.x
Subject(s) - biology , aphid , host (biology) , parthenogenesis , zoology , taxon , host specificity , genus , botany , ecology , genetics , embryo
The host plant relationships of the aphid genus Cryptomyzus were studied by field sampling and laboratory experiments. Host plant suitability and host plant preference were assessed in the laboratory using parthenogenetic females of the summer generations (exules). Differences in reproductive performance and host plant preference were found between closely related taxa of C. galeopsidis. Host plant preference was correlated with reproductive performance in these forms of C. galeopsidis. This indicated that evolutionary divergence has occurred and this justifies their status as separate species. It did not prove possible to induce an improvement in the performance of the C. galeopsidis from Lamium galeobdolon on Galeopsis tetrahit , the host plant of a closely related taxon. The life cycles and host plant relationships of Cryptomyzus are defined, including the previously unknown life cycles of C. heinzei, C. ballotae and two forms of C. galeopsidis. The results are discussed in relation to host use and their significance for differentiation between closely related aphid taxa. Résumé Relations entre la plante hôte et le cycle des pucerons du genre Cryptomyzus Les relations des pucerons du genre Cryptomyzus avec leurs plantes hôtes ont été étudiées dans la nature et au laboratoire. L'adéquation de la plante et le choix de l'insecte ont été examinés au laboratoire sur des femelles parthénogénétiques des générations estivales (exules). Les différences de performances reproductives et de choix des hôtes étaient liées étroitement à la position taxonomique de C. galeopsidis ; chez ces formes de C. galeopsidis les choix entre hôtes étaient liés aux performances reproductives. Ceci indique qu'il y a eu une divergence évolutive et justifie leur statut d'espèces distinctes. Ceci ne prouve pas qu'il soit possible d'induire une amélioration des performances de C. galeopsidis de Lamium galeobdolon sur Galeopsis tetrahit , plante hôte d'un taxon voisin. Les cycles et les relations avec les plantes hôtes de tous les taxa de Cryptomyzus ont été précisés, y compris pour les cycles jusqu'alors inconnus de C. heinzei, C. ballotae et de 2 formes de C. galeopsidis. Ces résultats sont discutés en fonction de l'utilisation de l'hôte et de leur signification pour la différenciation de taxa très voisins de pucerons.