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Honeydew as a contact kairomone for aphid parasitoids
Author(s) -
Budenberg W. J.
Publication year - 1990
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1990.tb01357.x
Subject(s) - honeydew , aphid , biology , sitobion avenae , kairomone , botany , aphididae , parasitoid , aphelinidae , homoptera , horticulture , host (biology) , biological pest control , pest analysis , ecology
Aphidius rhopalosiphi De Stefani‐Perez, four other primary parasitoids and three hyperparasitoids of cereal aphids responded to cereal aphid honeydew on filter paper discs by greatly increasing visit times. Both female and male parasitoids responded, females generally more strongly. A. rhopalosiphi females were shown to habituate to honeydew, and to dishabituate fully in 90 min. Their response increased with increasing concentrations of honeydew up to 0.25 mg/μl, but no further increase was detected at 0.5 mg/μl. The response did not occur when direct contact with the treated paper was prevented. A. rhopalosiphi responded to some honeydew from non‐host aphids as strongly as to that from host aphids. A. rhopalosiphi responded to the honeydew produced by Metopolophium dirhodum (Walker) reared on artificial diet and to the diet itself as strongly as to honeydew from M. dirhodum reared on wheat. The response of A. rhopalosiphi to honeydew therefore appears not to be caused by specific plant chemicals in the honeydew, and is probably not caused by aphid‐specific chemicals. The results are discussed in relation to host location by A. rhopalosiphi.Résumé Le miellat, kairomone de contact pour des parasitoïdes de pucerons Les parasitoïdes primaires de pucerons des céréales: Aphidius rhopalosiphi, A. picipes, A. ervi, Praon volucre et Ephedrus plagiator , ainsi que leurs hyperparasitoïdes, Dendrocerus carpenteri, Phaenoglyphis villosa et Alloxysta victrix ont réagi à du miellat de Sitobion avenae imbibant des disques de papier filtre, en prolongeant beaucoup leur temps de visite. Les femelles et les mâles ont réagi, mais les femelles généralement plus fortement. L'augmentation du temps de visite était probablement provoqué par la diminution de leur vitesse dans les zones traitées, leur tendance à séjourner dans ces zones et à y retourner après les avoir quittées. Les femelles de A. rhopalosiphi s'habituaient au miellat, mais s'en déshabituaient totalement en 90 minutes. Leurs réactions augmentaient avec la concentration en miellat jusqu'à 0,25 mg/μl, sans qu'il y ait eu une nouvelle augmentation à 0,5 mg/μl. La réaction était supprimée en absence de contact direct avec le papier. A. rhopalosiphi a repondu à quelques miellats produits par des non‐hôtes aussi fortement qu'à celui de ses hôtes. A. rhopalosiphi a réagi au miellat produit par Metopolophium dirhodum , élevé sur milieu artificiel, et au milieu nutritif lui‐même, aussi fortement qu'au miellat de M. dirhodum élevé sur du blé. Ainsi, la réponse d' A. rhopalosiphi à un miellat apparait comme n'étant pas due à la présence de substances chimiques spécifiques de plantes, ni, probablement, à des substances produites par les pucerons. Les résultats sont discutés en relation avec la localisation de l'hôte par A. rhopalosiphi.