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Prey location by Oechalia schellembergii
Author(s) -
Awan M. S.,
Wilson L. T.,
Hoffmann M. P.
Publication year - 1989
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1989.tb01233.x
Subject(s) - biology , predation , larva , olfaction , lepidoptera genitalia , noctuidae , zoology , pheromone , ecology
The predaceous pentatomid, Oechalia schellembergii (Guérin‐Meneville) (Heteroptera: Pentatomidae) used vision and olfaction to locate Heliothis punctigera (Wallengren) (Lepidoptera: Noctuidae) larvae. Oechalia schellembergii took relatively less time to locate wandering than stationary larvae. Dead, but artificially moved larvae were more prone to attacks than stationary larvae. Predators showed positive response to larval frass, they antennated, probed and carried out an intensive search in its vicinity. Oechalia schellembergii responded to prey that was both concealed and stationary at a close range only. Impairing of antennae had a greater impact on predators searching ability than impairing of eyes and ocelli. Predators without vision failed to differentiate between the anterior and posterior end of the prey and while probing often missed the larva. In contrast, non‐impaired individuals selectively attacked the anterior end of prey. Predators with vision and olfaction blocked showed an unusual search pattern. They searched sporadically with proboscis stretched, and also used front tarsi to locate prey. Prey movement played a major part in prey detection. Slow moving larvae appeared to be perceived less readily by predators than fast moving larvae. Résumé Localisation des proies par Oechalia schellenbergii O. schellenbergii Guerin‐Meneville utilise la vision et l'olfaction pour découvrir ses proies, les chenilles d' Heliothis punctigera Wallenberg. La vision est importante dans la détection des proies en mouvement et l'olfaction aide à la découverte des chenilles immobiles. Les prédateurs consacrent relativement moins de temps à localiser les chenilles mobiles qu'immobiles. Des chenilles mortes mais artificiellement remuées sont perçues et ainsi sujettes à plus d'attaques que si elles étaient immobiles. Les prédateurs réagissent aux excréments des chenilles, ils les touchent avec leurs antennes, les sondent et s'engagent dans une prospection intense aux alentours. Ils ne réagissent qu'à faible distance à une proie cachée et immobile. Le vernissage des antennes semble avoir eu plus d'effet sur la prospection que le vernissage des yeux et des ocelles. Cependant, les punaises dont la vision était compromise ne distinguaient pas les extrémités antérieure et postérieure de la chenille, qui était souvent manquée lors du sondage. Ce sondage des proies était d'ailleurs toujours perturbé; par contre, les individus intacts, attaquaient sélectivement l'extrémité antérieure des chenilles. Le comportement de prospection des punaises, dont la vision et l'olfaction étaient bloquées, était anormal. Elles cherchaient sporadiquement avec leurs rostres, tout en se déplaçant autour de leurs proies, localisées aussi par l'utilisation des tarses antérieurs. Le mouvement de la proie a joué un rôle fondamental dans la détection. Les chenilles lentes ont semblé plus susceptibles d'être découvertes et ainsi attaquées que les rapides.

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