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Field placement of mealybug‐infested potted cassava plants for the study of parasitism of Phenacoccus herreni
Author(s) -
Driesche R. G.,
Castillo J.,
Bellotti A. C.
Publication year - 1988
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1988.tb01101.x
Subject(s) - mealybug , biology , parasitism , horticulture , parasitoid , botany , population , homoptera , pest analysis , natural enemies , ecology , host (biology) , demography , sociology
During 4‐day field exposure intervals, Phenacoccus herreni Cox & Williams, third‐instar mealybugs on artificially infested potted cassava plants were reduced 73% from initial densities of 235.7–1100.2/infested plant to 63.7–314.2/plant due to dispersal, rain, and predation. Frequency of parasitoid attack did not differ between high and low mealybug densities. The same species of parasitoids, in approximately the same proportions, were reared from mealybugs on artificially infested potted plants as from field mealybugs ( Acerophagus coccois Smith, 88.1% and Epidinocarsis diversicornis (Howard), 11.3%). Parasitoid attack rates on artificially exposed mealybugs, when combined with a simulation model of parasitism, accurately predicted observed levels of stage‐specific parasitism in the field population. Résumé Disposition de pots de plants de manioc (Manihot esculenta) contaminés par la cochenille Phenacoccus herreni pour l'étude du parasitisme Pendant des expositions de 4 jours dans la nature de plants en pots de M. esculenta contaminés artificiellement par des P. herreni du troisième stade, les densités de cochenilles ont été réduites de 73%: de 235.7–1100.2/par plant contaminé à 63.7–314.2/par plant, par suite des évasions, de la pluie et de la prédation. Les attaques de parasitoïdes ne changent pas suivant les densités de cochenilles. Les mêmes espèces de parasitoïdes, ont été élevées dans à peu près les mêmes proportions ( Acerophagus coccois , 88.1%, et Epidinocaris diversicornis , 11.3%) à partir de cochenilles sur pots artificiellement contaminés ou de manioc de la nature. Les taux d'attaques par les parasitoïdes sur les cochenilles artificiellement exposées, associés à un modèle de simulation du parasitisme, ont permis de prévoir avec précision les niveaux de parasitisme observés pour chaque stade dans la population de la nature.