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Survival of repeated frosts by the Queensland fruit fly, Dacus tryoni : experiments in laboratory simulated climates with either step or ramp fluctuations of temperature
Author(s) -
Meats A.,
Fitt G. P.
Publication year - 1987
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1987.tb02249.x
Subject(s) - dacus , zoology , biology , repeated measures design , maximum temperature , ecology , horticulture , tephritidae , pest analysis , atmospheric sciences , mathematics , statistics , physics
Ability to survive exposure to single or repeated periods at a subzero temperature is related to the temperature experienced, whether it is approached quickly or slowly, the time for which it prevails and the interval between exposures. The severity of any low temperature can be expressed in terms of LE 50 (time required to kill 50% of individuals with one exposure). Minima enduring for 35% LE 50 do not cause any mortality, even when repeated daily. Minima enduring for 44% LE 50 cause ca 14% mortality on the first occurrence but no more if repeated at 3 day intervals, but 3% more per occasion if repeated daily. Minima enduring for 88% LE 50 cause ca 40% mortality on first occurrence and an equal amount at each recurrence even if each is 7 days apart. Minima enduring for 125% LE 50 and over 150% LE 50 cause respectively ca 80% and 100% mortality respectively on first occurrence. The daily maximum temperature (in the range 15 °C to 25 °C) appears to have little relevance to the mortality caused by a repeated minimum of −5 °C. Flies of different ages have a similar ability to survive a repeated minimum of −6°C for up to six exposures, but thereafter old flies are more susceptible than young ones. These results can be related to mortality caused by frosty conditions in the field so long as the time spent at the minimum is known and the temperature on the ground can be measured or calculated. RÉSUMÉ Survie de Dacus tryoni à des gelées répétées: expériences de simulation en laboratoire de changements progressifs ou brutaux de température L'aptitude à survivre à une ou plusieurs expositions à des températures inférieures à zéro dépend à la fois de leur sévérité et du laps de temps entre les expositions. L'effet d'une température minimale déterminée dépend de sa valeur, de sa durée et du type de refroidissement: brutal (step) ou progressif (ramp). Les effets de toute température minimale peuvent ětre exprimés en termes de LE 50 (temps nécessaire pour obtenir une mortalité de 50% avec une exposition unique). Lorsque le temps d'application de la température minimale correspond à 35% du LE 50 , il n'y a pas de mortalité, de měme dans le cas de répétitions quotidiennes. Lorsque le minimum est subi pendant 44% du LE 50 , il provoque environ 14% de mortalité après la première exposition, avec 3% supplémentaire après chaque expositon quotidienne, mais l'augmentation est nulle si l'exposition au froid n'a lieu que tous les 3 jours. Lorsque le minimum est subi pendant 88% de LE 50 , la mortalité après la première exposition est d'environ 40% et de měme importance à chaque nouvelle exposition, měme si elles sont espacées de 7 j. Lorsque la durée d'exposition au minimum correspond à 125% et à 150% de LE 50 , les mortalités sont respectivement d'environ 80% et 100% à la premiére exposition. La température maximale quotidienne, entre 15 et 25 °C, semble avoir peu d'influence sur la mortalité provoquée par des expositions répétées à −5°C. Les mouches d'ǎges différents résistent de la měme façon jusqu'à 6 expositions répétées à −6°C, mais au‐delà les mouches ǎgées sont plus sensibles que les jeunes. Dans la mesure où, dans la nature, la durée d'exposition à la température minimale est connue et où la température dans le sol peut ětre calculée ou mesurée, ces résultats peuvent permettre d'interpréter la mortalité provoquée par le gel.