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Limonoids from the Meliaceae and Rutaceae reduce feeding, growth and development of Ostrinia nubilalis
Author(s) -
Arnason J. T.,
Philogène B. J. R.,
Donskov N.,
Kubo I.
Publication year - 1987
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1987.tb02213.x
Subject(s) - pyralidae , ostrinia , biology , lepidoptera genitalia , rutaceae , meliaceae , larva , instar , horticulture , pest analysis , toxicology , botany
Six limonoids from the Rutaceae and Meliaceae were evaluated for their effect on the European corn borer, Ostrinia nubilalis Hübner (Lepidoptera: Pyralidae). Antifeedant activity increased in the order gedunin, bussein, entandrophragmin, nomilin, cedrelone, anthothecol. When incorporated into artifical diets of neonates at 50 ppm all compounds either caused larval mortality or growth reduction of survivors. However in a study with naive third instar larvae, only cedrelone and anthothecol were effective in reducing efficiency of conversion of ingested food at concentrations of 100 ppm or less. In sublethal trials at 10 ppm in diet, these two substances led to growth reduction of larvae and reduced female, but not male pupal weights, percent pupation, adult emergence and number of eggs per female. The results are discussed in terms of structure‐activity relationships. RÉSUMÉ Limonoides provenant des Meliaceae et des Rutaceae réduisent le croissance, l'injestion de la nourriture et le développement de Ostrina nubilalis On a évalué l'effet de six limonoides provenant des Rutaceae et des Meliaceae sur la pyrale du mais, Ostrinia nubilalis Hübner (Lepidoptera: Pyralidae). L'activité anti‐appétante a augmenté dans l'ordre suivant: gédunine, busséine, entandrophragmine, nomiline, cédrélone, anthothecol. Lorsqu'on incorpore ces composés à un régime artificiel à raison de 50 ppm on observe soit des mortalites larvaires, soit une réduction de croissance des survivats. Cependant lors d'une étude avec des larves de 3ème âge n'ayant jamais été exposées à de telles substances, seules la cédrélone et l'anthothecol ont été effectifs, réduisant la capacité de conversion de la nourriture ingérée à des concentrations de 100 ppm ou moins. A des doses sub‐létales de 10 ppm dans le régime, ces deux substances ont produit une réduction de croissance des larves, une réduction de poids des femelles mais non des mâles, une réduction du pourcentage de pupaison, de l'émergence des adultes et du nombre d'oeufs par femelle. Les résultats sont discutés en fonction des relations structure‐activité.