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Termination of diapause in the Cinnabar moth (Tyria jacobaeae) by chilling
Author(s) -
Zoelen Agnes M.,
Kusters Ger J.
Publication year - 1986
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1986.tb00527.x
Subject(s) - diapause , pupa , lepidoptera genitalia , biology , saturniidae , dormancy , horticulture , photoperiodism , botany , zoology , larva , germination
The effect of chilling time on the termination of pupal diapause was studied in the Cinnabar moth, Tyria jacobaeae L., Lepidoptera: Arctiidae. Chilling followed by a temperature of 20 °C was effective in terminating diapause. Chilling for 120 days immediately after pupation yielded the highest percentage emergence and resulted in the shortest total pupal development time (162 days). A more natural treatment, a warm period before cold treatment, did not result in a higher percentage of emergence or in a shorter total pupal development time. During hibernation this species experiences two successive processes: diapause development during the first three to four months of cold, followed by a period of quiescence. Application of high temperatures in this latter period immediately starts morphogenesis. The impact of a relative humidity of 70% during the pupal stage for complete wing unfolding is demonstrated. The underlying mechanism of diapause is discussed. Résumé Levée de la diapause chez Tyria jacobaeae par mise au froid L'effet sur la levée de la diapause de différents régimes de température infligés aux chrysalides est étudié chez Tyria jacobaeae L. (Lepidoptera: Arctiidae). Une mise au froid suivie de hautes températures lève efficacement la diapause. Un refroidissement pendant 120 jours immédiatement après la nymphose entraîne le plus grand pourcentage d'éclosions et la durée totale du développement des chrysalides la plus courte (162.3 j). Un traitement plus naturel, une période chaude avant la période froide, n'entraîne pas un plus grand pourcentage d'éclosions ni une durée plus courte de développement. Il est proposé que durant l'hibernation cette espèce passe par deux processus successifs: un diapause durant les premiers trois ou quatre mois de froid, suivie d'une période de quiescence. Le transfert à des hautes températures pendant cette derpériode déclanche immédiatement la morphogénèse. L'influence d'un taux élevé d'humidité relative durant le stade chrysalide sur le déploiement complet des ailes est démontré. Le méchanisme de diapause sous‐jacent est discuté.