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Influence of sex and prior protein feeding on preferences by the housefly, Musca domestica , between sucrose solutions and solutions of l ‐leucine or sodium phosphate buffer
Author(s) -
Browne L. Barton,
Kerr R. W.
Publication year - 1986
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1986.tb00519.x
Subject(s) - biology , sucrose , sodium , phosphate , microbiology and biotechnology , biochemistry , chemistry , organic chemistry
Comparisons were made of the preferences shown by non‐protein‐fed females, protein‐fed gravid females, and non‐protein‐fed males of the house fly, given choices between sucrose solution and either l ‐leucine or sodium phosphate buffer. In choice tests where non‐protein‐fed females showed little preference, protein‐fed females and males both showed a strong preference for the sucrose solution. The findings suggest that l ‐leucine and sodium phosphate buffer are recognised by non‐protein‐fed females as indicators of nutrients for ovarian development. Résumé Influence sur le choix entre solutions de sucrose et solutions de L. leucine ou un tampon de phosphate de soude, du sexe et de l'alimentation préalable en protéines de Musca domestica Les choix alimentaires de 3 catégories de M. domestica : femelles n'ayant pas consommé de protéines, femelles à ovaires développés alimentées sur protéines, mâles n'ayant pas consommé de protéines, ont été examinés par leur absorption de solutions dans une paire de ‘potomètres’. Elles avaient le choix entre, d'une part une solution de sucrose et, d'autre part une solution de L. leucine ou d'un tampon de phosphate de soude. Pour les expériences où les femelles non préalablement alimentées sur protéines ne présentent aucune préférence, les femelles alimentées sur protéines et les mâles préfèrent nettement la solution de sucrose. Les résultats montrent que les femelles non alimentées sur protéines répondent plus que les femelles mûres et les mâles à la fois à la solution de L. leucine et au tampon de phosphate qu'au sucrose. Ceci suggère que l'impulsion sensorielle provoquée par ces deux breuvages est perçue par les femelles n'ayant pas consommé de protéines comme un indicateur d'aliments indispensables au développement ovarien.