Premium
INTERFERENCE TO EGG AND LARVAL DEVELOPMENT OF THE AUSTRALIAN SHEEP BLOWFLY BY THREE INSECT GROWTH REGULATORS
Author(s) -
LEVOT G. W.,
SHIPP E.
Publication year - 1983
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1983.tb03290.x
Subject(s) - lucilia cuprina , biology , hatching , diazinon , larva , diflubenzuron , calliphoridae , toxicology , zoology , botany , ecology , pesticide
Ovicidal activities of BAY SIR 8514, diflubenzuron and CGA‐72662, by topical application to gravid female Lucilia cuprina (Wied.), were measured in terms of hatching success and the proportion of larvae completing larval development. BAY SIR 8514 was the most effective ovicide, capable of completely inhibiting egg eclosion. Two diazinon‐resistant strains were more susceptible to prevention of egg hatching, but one (Q‐strain) exhibited some cross‐resistance to both urea compounds in terms of larval survival. The same strain displayed resistance to CGA‐72662 which, although not affecting hatching or as active as the urea compounds, did reduce the number of larvae completing development. For both urea compounds, oxygen consumption of eggs from treated females indicated apparently normal development until hatching time, but then a failure to hatch. Respiration of eggs from CGA‐72662 treated females was similar to controls. RÉSUMÉ Interférences de trois régulateurs de croissance des insectes sur le développement embryonnaire et larvaire de Lucilia cuprina Les activités ovicides des urées benzoylphényles BAY SIR 8514, du diflubenzuron et de la S‐triazine CGA‐72662 ont été évaluées en taux d'éclosion après application locale sur femelles gravides de Lucilia cuprina . Les effets combinés de l'action ovicide et de la mortalité pendant la vie larvaire sont établis d'après la proportion achevant leur développement. Les lignées résistantes au diazinon sont plus susceptibles de voir abaisser leur taux d'éclosion, mais la lignée Q d'après sa survie globale est trois fois plus résistante au BAY SIR 8514 et quatre fois et demi au diflubenzuron que la lignée sensible. L'éclosion des œufs d'aucune lignée n'est inhibée par le CGA‐72662 jusqu'aux doses de 4 μg/mouche; il n'est donc pas aussi actif que les urées benzoylphényles; mais les larves écloses présentent des symptǒmes semblables à ceux présentés par les larves alimentées sur CGA‐72662 et mortes aussitǒt après l'éclosion. La lignée Q est encore moins affectée par le traitement local avec ce composé (Rf = 2). Le développement embryonnaire évalué par les taux respiratoires des œufs de femelles traitées au BAY SIR 8514 ou au diflubenzuron était apparemment normal jusqu'au moment prévu pour l'éclosion, mais la consommation d'oxygène diminue par la suite jusqu'à ce que toutes les larves soient mortes environ 40 heures après la ponte. La courbe de respiration des œufs traités au CGA‐72662 ne diffère pas de celle des témoins.