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RÔLE DE L'EAU DE BOISSON SUR LA PRISE DE NOURRITURE SÈCHE ET LE DÉVELOPPEMENT OVARIEN DE LOCUSTA MIGRATORIA MIGRATORIOIDES
Author(s) -
HALIMA T. BEN,
LOUVEAUX A.,
GILLON Y.
Publication year - 1983
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1983.tb03276.x
Subject(s) - biology , microbiology and biotechnology , gynecology , medicine
Pour déterminer la ration minimale d'eau nécessaire à la survie de Locusta migratoria migratorioides (R. et F.) adulte et les repercussions d'un stress hydrique prolongé sur le fonctionnement ovarien, nous avons séparé le facteur eau du facteur aliment en élevant les criquets de l'éclosion à l'âge adulte avec des germinations de blé lyophilisé, selon une technique décrite par Louveaux et al . (1980). Il est montré que la quantité d'aliments ingérée augmente avec la quantité d'eau bue (r = 0,91). La relation linéaire déterminée permet inversement, connaissant les quantités d'aliments ingérés, d'évaluer à 300 μl la ration quotidienne d'un criquet ayant un accès non limité à l'eau de boisson. Les femelles qui n'ont reçu que 50 μl d'eau par jour (j.) sont mortes avant le 9ème jour de traitement. La survie est assurée à partir de 100 μl/j. L'avancement de la vitellogenèse est également en relation avec la quantité d'eau absorbée quotidiennement. Aucun développement ovarien ne se produit jusqu'à 100 μl/j. Une vitellogenèse ralentie commence à partir de 150 μl/j. et elle devient normale à 300 μl/j. avec des pontes comparables à celles des témoins nourris de blé frais.

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