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THE INFLUENCE OF TEMPERATURE, DIET AND OLIVE FRUITS ON THE MATURATION RATES OF FEMALE OLIVE FLIES AT DIFFERENT TIMES OF THE YEAR
Author(s) -
FLETCHER B. S.,
KAPATOS E. T.
Publication year - 1983
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1983.tb03264.x
Subject(s) - biology , dacus , sugar , ripeness , reproduction , zoology , horticulture , botany , tephritidae , pest analysis , food science , ecology , ripening
Rates of ovarian maturation of Dacus oleae (Gmel.) were measured at different times of the year. Females provided with sugar, water, protein hydrolysate and olive fruits matured faster at all times of the year than comparable groups provided with sugar, water and protein; sugar, water and olives; or sugar and water only. The day‐degree requirements for maturation were relatively uniform for ♀♀ of a particular treatment for the greater part of the year but increased significantly during the summer months when higher than optimum temperatures reduced maturation rates. Because of this the overall relationships between maturation rates and temperature were best expressed by third‐degree polynomial regression equations. The upper maturation thresholds depended upon the treatment and ranged from 23° for flies fed sugar and water only to 29.3° for flies provided with sugar, water, protein and olives. Data obtained during the summer months indicated that there is a strong positive correlation between fruit ripeness (expressed as weight) and the rate at which the ovaries develop. The significance of these findings in relation to the prediction of maturation times is discussed. RÉSUMÉ Influences de la température, de l'alimentation et des olives sur les taux de maturation des femelles de Dacus oleae à différentes périodes de l'année Les taux du développement ovarien de Dacus oleae (Gmel.) ont été mesurés à différents moments de l'année. Les ♀♀ pourvues en sucre, eau, hydrolysat protéique et olives ont mûri plus vite — quel que soit le moment de l'année — que des groupes comparables pourvus en sucre, eau et protéine: en sucre, eau et olives; ou uniquement en sucre et eau. Les besoins en jours‐degrés pour la maturation ont été relativement uniformes pour les ♀♀ ayant subi un régime particulier pendant la plus grande partie de l'année, mais ont augmenté significativement pendant les mois d'été quand des températures supérieures à l'optimum ont réduit les taux de maturation. Il en résulte que la totalité des relations entre taux de maturation et température est exprimée au mieux par des équations de régression au troisième degré. Les seuils supérieurs de maturation dépendent du traitement et s'échelonnent de 23° (avec alimentation sur sucre et eau seuls) à 29.3° (avec alimentation sur sucre, eau, protéines et olives). Les données recueillies pendant les mois d'été montrent une forte correlation positive entre la maturité du fruit (d'après son poids) et le taux de développement des ovaires. La discussion examine la signification de ces conclusions pour la prevision des dates de maturation.