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INFLUENCE OF PLANTS AND ADULT FOOD ON THE FECUNDITY OF THE POTATO MOTH, PHTHORIMAEA OPERCULELLA
Author(s) -
TRAYNIER R. M. M.
Publication year - 1983
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1983.tb03250.x
Subject(s) - phthorimaea operculella , biology , gelechiidae , fecundity , host (biology) , lepidoptera genitalia , pupa , botany , pest analysis , horticulture , larva , ecology , population , demography , sociology
Adult Phthorimaea operculella (Zell.) developed their first oocytes within a few hours of emergence from the pupa. P. operculella mated and oviposited in the absence of plants, but oviposition increased given contact with host plants or high levels of host odour. The absolute number of eggs laid in the presence of potato was greater in better‐fed moths, but in starved moths the proportional increase was larger. Dissections showed this extra oviposition was linked with an increased number of mature oocytes and with new oocytes produced by the germarium. In well‐fed moths these developments occurred during the nocturnal oviposition period, even when oviposition was prevented by an artificial extension of the photoperiod. In starved moths with low fecundity, potato induced the development of additional oocytes during the photophase before the oviposition period. There was no evidence that potato foliage released oviposition. The fecundity of well‐fed moths in the presence of any of 4 species of non‐host plants was the same as with green paper. In moths on a sub‐optimal diet, however, fecundity was increased significantly by lettuce foliage, but the influence of potato foliage was unchanged by the addition of non‐host leaves. Unmated ♀♀ laid few eggs and lacked on ovarian response to potato. Oosorption was generally absent. In another, separate influence, potato materials localized oviposition. RÉSUMÉ Influence de plantes et de l'alimentation imaginale sur la teigne de la pomme de terre, Phthorimaea operculella Au laboratoire, les adultes de Phthorimaea operculella présentent leurs premiers ovocytes dans les heures qui suivent l'émergence des chrysalides. Dans des cages de 500 ml, P. operculella s'accouple et pond en absence de plantes, mais la ponte augmente avec contact avec les plantes‐hôtes ou des concentrations élevées de leur odeur. Le nombre absolu d'œufs pondus en présence de pomme de terre est plus élevé pour les papillons bien alimentés, mais avec des insectes à jeûn leur proportion est plus importante. La dissection montre que cette ponte supplémentaire est liée à l'accroissement du nombre d'ovocytes mûrs et à l'apparition de nouveaux ovocytes produits par le germarium. Chez des papillons bien nourris, ces phénomènes se produisent pendant la période nocturne de ponte, même quand celle‐ci est rendue impossible par prolongation artificielle de la photopériode. Chez des papillons à jeûn, avec une faible fécondité, les pommes de terre induisent le développement d'ovocytes supplémentaires pendant la photophase avant la période de ponte. Il n'y a pas de preuve que les feuilles de pomme de terre induisent la ponte. La fécondité de papillons bien alimentés en présence de n'importe laquelle des 4 plantes non hôtes testées était la même qu'avec du papier vert. Pour des papillons avec un régime sub‐optimal, la fécondité est cependant accrue significativement avec du feuillage de laitue. L'influence du feuillage de pomme de terre n'est pas modifiée par l'addition de feuilles d'autres plantes. Les femelles vierges pondent peu d'œufs et perdent leur réponse ovarienne aux pommes de terre. L'ovosorption est généralement absente. Parallèlement la pomme de terre influe sur le lieu de ponte.