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STRATEGIES FOR COLONIZATION AND MAINTENANCE OF THE MEDITERRANEAN FRUIT FLY
Author(s) -
LEPPLA N. C.,
HUETTEL M. D.,
CHAMBERS D. L.,
ASHLEY T. R.,
MIYASHITA D. H.,
WONG T. T. Y.,
HARRIS E. J.
Publication year - 1983
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1983.tb03238.x
Subject(s) - ceratitis capitata , biology , tephritidae , capitata , horticulture , pupa , botany , pest analysis , larva , brassica oleracea
Colonies of the Mediterranean fruit fly, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae) were established from field‐collected pupae and reared for 12 generations (G) using 3 different methods; given special care (C). eased from special care into mass rearing (E), and forced directly into mass rearing (F). The respective average numbers of viable pupae per ♀ increased from 1.5, 1.7, and 2.0 at G 1 to 6.3, 6.6, and 8.5 at G 12 . The number of viable eggs per fertile ♀, though varying greatly depending on generation, never had an increasing or decreasing trend. Thus, since the fertility of individual ♀ ♀ remained relatively constant, improved yields were primarily due to an increase in the proportion of reproducing females. Furthermore, switching the E colony to the F regimen after G 5 was as detrimental as initial colonization. RÉSUMÉ Stratégies de colonisation et d'entretien de Ceratitis capitata Des souches de Ceratitis capitata ont été formées à partir de pupes récoltées dans la nature et élevées pendant 12 générations (G) suivant 3 méthodes différentes: avec soins particuliers (C) soins particuliers pendant 5 générations puis tranfert sur régime et substrat artificiel en élevage de masse (E), élevage de masse continu sur régime et substrat artificiel (F). Les nombres moyens de pupes viables par femelle ont augmenté respectivement de 1.5, 1.7, et 2.0 and G1 à 6.3. 6.6 et 8.5 en G12. Les nombres d'oeufs viables par femelle féconde ont varié beaucoup suivant les générations sans aucune tendence marquée. Ainsi, puisque la fécondité par femelle est restée relativement constante, l'augmentation de la production est parvenue avant tout de l'augmentation de la proportion de femelles fécondes. Par ailleurs, le transfert de la souche E en régime F après G5 a eu des effets aussi négatifs que la colonisation initiale.