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POST‐LANDING BEHAVIOR OF ALATE MYZUS PERSICAE AS ALTERED BY (E)‐β‐FARNESENE AND THREE CARBOXYLIC ACIDS
Author(s) -
PHELAN P. L.,
MILLER J. R.
Publication year - 1982
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1982.tb03180.x
Subject(s) - myzus persicae , alate , biology , aphid , forestry , aphididae , botany , pest analysis , homoptera , geography
The potential of 4 chemicals for disrupting the host‐selection behavior of the aphid, Myzus persicae , was investigated using a flight chamber with both vertical and horizontal wind flow. (E)‐β‐farnesene (the aphid alarm pheromone) reduced probe durations, increased wandering, but did not reduce eventual settling. Undecanoic and dodecanoic acids (but not heptadecanoic acid) reduced all host‐selection behaviors. Even after multiple landings, aphids never settled on surfaces treated with un‐and dodecanoic acids. These laboratory data do not support the prospect that these chemicals would reduce non‐persistent virus spread since aphids virtually always probed immediately after landing on any treatment. Other potential uses of these chemicals for aphid control are discussed. RÉSUMÉ Altération du comportement de Myzus persicae aile après atterrissage sur l'hôte, par (E)‐β‐farnesène et trois acides carboxyliques L'aptitude de 4 substances chimiques à interrompre le comportement de sélection de l'hôte du puceron, Myzus persicae , a été examinée dans une chambre de vol avec des flux d'air verticaux et horizontaux. La phéromone d'alarme, (E)‐β‐farnesène, réduit la durée des piqures, accroît le vagabondage, mais ne réduit pas l'établissement éventuel. Les acides undécanoïque et dodécanoïque (mais pas l'acide heptadécanoïque) réduisent tous les comportements de sélection de l'hôte. Même après de nombreux atterrissages, les pucerons ne s'établissent pas sur les surfaces traitées avec les acides un‐et dodécanoïque. Ces résultats de laboratoire ne confirment pas l'espoir que ces substances chimiques pourraient réduire la dispersion de virus non‐persistants puisque les pucerons piquent pratiquement toujours immédiatement après atterrissage avec tous les traitements. D'autres utilisations potentielles de ces substances pour la lutte contre les pucerons sont examinées.