z-logo
Premium
THE RELATIONSHIP BETWEEN RESTRICTION OF HOST PLANT CONSUMPTION, AND POST‐INGESTIVE UTILIZATION OF BIOMASS AND NITROGEN IN HYALOPHORA CECROPIA
Author(s) -
GRABSTEIN ERIC M.,
SCRIBER J. MARK
Publication year - 1982
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1982.tb03136.x
Subject(s) - biology , cecropia , larva , instar , saturniidae , food consumption , botany , ecology , economics , agricultural economics
The growth rate and food utilization efficiencies of penultimate instar Hyalophora cecropia are affected by restrictive feeding regimens which simulate the case of behaviorally induced larvae encountering a new food, and which entail an initial period of reduced consumption. Our data suggest that any effects on post‐ingestive utilization of a new host plant or diet onto which larvae have been switched may not only be the result of a lack of physiological adaptation to the new food, but may also be caused by deterrent effects (e.g. when behaviorally induced larvae encounter and initially reject a new food). Larval performance by the penultimate instar was affected differently by another type of restrictive feeding regimen, this one entailing a daily period of food deprivation. These results indicate that different experimentally imposed food consumption patterns engender different larval physiological responses which are totally independent of host plant quality. The general implication of this study is that attempts to discriminate between behavioral (pre‐ingestive) and physiological (post‐ingestive) effects of a food upon an insect should be made with caution. RÉSUMÉ Influence de la consummation limitée de la plante‐hôte sur l'utilisation de la biomasse ingerée et de l'azote par les chenilles d' Hyalophora cecropia Des régimes alimentaires imposés aux chenilles de l'avant dernier stade de Hyalophora cecropia ont simulé la situation provoqué par l'impossibilité temporaire de consommer un nouvel aliment ( Prunus serotina) . Cette simulation, qui a graduellement augmenté les difficultés (pendant des période de 4 et 5 jours) au cours du temps où les chenilles étaient autorisées à s'alimenter, a réduit la consommation et le taux de croissance. et prolongé le stade larvaire. L'efficacité de la digestion a été réduite. mais celle de la conversion des aliments ingérées a été accrue. Les chenilles acquirèrent approximativement la même biomasse pendant ce stade que celles autorisées à s'alimenter dès le début du stade. Par suite des effets de ces régimes sur les rendements, les effets du changement d'aliment sur l'utilisation post‐digestive, qui ont été observes au cours d'autres études, ne peuvent être attribués à l'absence d'adaptation physiologique au nouvel aliment. Une répulsion temporaire induite par le comportement de refus d'acceptation immédiate d'un nouvel aliment peut avoir un certain impact sur l'utilisation après ingestion de ce nouvel aliment. Les chenilles sont affectées différemment par un autre regime alimentaire, celui entrainant une période quotidienne de privation d'aliments. La consommation et les taux de croissance sont réduits et le stade larvaire est prolongé par comparaison avec les chenilles alimentées 24 heures par jour. Aucun des rendements d'utilisation de l'aliment ne sont modifiés, et la biomasse des chenilles augmente moins pendant le stade. Nous en concluons que différents types d'alimentation imposés expérimentalement provoquent des résponses physiologiques larvaires différentes totalement indépendantes de la qualité de la plante hôte.

This content is not available in your region!

Continue researching here.

Having issues? You can contact us here