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VOLATILE PLANT CHEMICALS AND THEIR EFFECT ON HOST PLANT FINDING BY THE CABBAGE ROOT FLY (DELIA BRASSICAE)
Author(s) -
FINCH S.
Publication year - 1978
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1978.tb02793.x
Subject(s) - biology , brassica , botany , pest analysis , glucosinolate , olfactometer , host (biology) , horticulture , brassicaceae , ecology
Volatile plant chemicals are generally credited with a major role in host plant location by many phytophagous insects. Mixtures of volatiles are produced in cruciferous plants mainly by the hydrolysis of non‐volatile glucosinolates to volatile isothiocyanates, thiocyanates and nitriles. The cabbage root fly attacks a wide range of cruciferous plants, with differing odours, implying that several volatile chemicals are probably involved in attracting the flies and in stimulating them to lay. Oviposition by the cabbage root fly was studied, therefore, on a large range of wild and cultivated plants to determine the most preferred species. The volatile chemicals in these species were identified in the hope that some of them may prove more useful as attractants for luring cabbage root flies to field traps. Similar volatile chemicals were released from both intact and macerated plants. It was deduced that any one, or combinations, of eleven chemicals may probably be involved in attraction and host plant selection by this fly. The concentrations of these chemicals change during the life of the plant, however, and an initially attractive chemical can become so concentrated that eventually it repels the insect. Difficulties encountered in experiments on olfaction and possible ways in which they can be overcome are discussed. RÉSUMÉ INFLUENCE DES SUBSTANCES CHIMIQUES VOLATILES DUR LA DECOUVERTE DES PLANTES HOTES PAR LA MOUCHE DU CHOU (DELIA BRASSICA) Les substances volatiles des végétaux sont considérées comme jouant un rôle capital dans la découverte de la plante hôte. L'hydrolyse des glucosinolates non volatils en isothiocyanates, thiocyanates et nitriles volatils produit essentiellement les mélanges volatils des Crucifères. Comme la Mouche du Chou attaque une gamme importante de Crucifères aux odeurs différentes, ceci implique que plus d'une substance volatile est probablement impliquée dans l'attraction des mouches et la stimulation de leur ponte. La ponte de la Mouche du Chou a ainsi été étudiée sur de nombreuses plantes sauvages et cultivées pour déterminer les espèces préférées. Les substances volatiles de ces espèces ont été identifiées dans l'espoir que certaines pourraient s'avérer utiles pour attirer les Mouches du Chou dans les pièges. Des substances volatiles semblables ont été libérées par les plantes intactes et macérées. On en a déduit, que l'une quelconque, ou des combinaisons, de 11 substances peuvent être impliquées probablement dans l'attraction et la sélection des plantes hôtes par cette mouche. Cependant leurs concentrations changent pendant la vie de la plante et une substance d'abord attractive peut devenir tellement concentrée qu'elle repousse éventuellement l'insecte. Les difficultés expérimentales de l'olfacation et des méthodes pour les surmonter sont discutées.