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OLFACTORY PERCEPTION OF PHEROMONE AND HOSTODOUR ENANTIOMERS BY IPS TYPOGRAPHUS (COLEOPTERA: SCOLYTIDAE)
Author(s) -
DICKENS J. C.
Publication year - 1978
Publication title -
entomologia experimentalis et applicata
Language(s) - French
Resource type - Journals
SCImago Journal Rank - 0.765
H-Index - 83
eISSN - 1570-7458
pISSN - 0013-8703
DOI - 10.1111/j.1570-7458.1978.tb02790.x
Subject(s) - pheromone , biology , electroantennography , chemical communication , enantiomer , sex pheromone , odor , exocrine secretion , stereochemistry , zoology , botany , endocrinology , chemistry , neuroscience , pancreas
Electroantennograms (EAGs) were recorded from adult male and female beetles to enantiomers of their pheromone, cis ‐verbenol, and the precursor, α‐pinene. ( S )‐(‐)‐α‐pinene, the precursor for ( S )‐(‐)‐ cis ‐verbenol, elicited significantly greater responses in both males and females than did the ( R )‐(+)‐enantiomer. Male beetles were more responsive to the ( S )‐(‐)‐α‐pinene than female beetles. The response of female beetles was significantly greater to ( S )‐(‐)‐ cis ‐verbenol than to the ( R )‐(+)‐enantiomer. Although EAGs indicated a similar number of acceptor sites for both the pheromone and host terpene, the pheromone had a greater affinity for its acceptor sites. Based on electro‐physiological data hypothetical acceptors were constructed. RÉSUMÉ PERCEPTION OLFACTIVE D'ÉNANTIOMÈRES DE PHÉROMONES ET DE L'ODEUR DE LA PLANTE‐HÔTE CHEZ IPS TYPOGRAPHUS (COLEOPTERA: SCOLYTIDAE) On a enregistré des électroantennogrammes de Ips typographus mâles et femelles en réaction aux énantiomères de leur phéromone, cis ‐verbénol, et du précurseur, α‐pinène. (S)‐(‐)‐α‐pinène, précurseur de (S)‐(‐)‐ cis ‐verbénol, a provoqué des réactions sensiblement plus importantes que le (R)‐(+)‐énantiomère aussi bien chez les mâles que chez les femelles. Les mâles ont réagi davantage à (S)‐(‐)‐α‐pinène que les femelles. La réaction des femelles à (S)‐(‐)‐ cis ‐verbénol était sensiblement plus forte qu'au (R)‐(+)‐énantiomère. Ces résultats ont montré un nombre semblable d'accepteurs pour la phéromone et pour le terpène de la plante‐hôte, la phéromone ayant une plus grande affinité pour ses accepteurs. Sur la base des données électro‐physiologiques, on a construit des accepteurs hypothétiques.